Le boycott, boycottage ou encore, en français, la mise à l'index, est le refus collectif et systématique d'acheter ou de vendre les produits ou services d'une entreprise ou d'une nation pour marquer une hostilité et faire pression sur elle.
Le terme boycott peut aussi s'utiliser pour désigner le refus collectif de participer à des élections ou à des événements.
L’article 41 de la Charte des Nations unies prévoit l’interruption complète ou partielle des relations économiques avec un État coupable d’une menace contre la paix, d’une rupture de la paix ou d’une agression.
Le terme vient du nom du britannique Charles Cunningham Boycott (1832-1897), intendant d'un riche propriétaire terrien du comté de Mayo, en Irlande de l'Ouest, durant le : comme il traitait mal ses fermiers, il subit un ostracisme et un blocus de leur part en 1880. Le mot boycott se répandit par voie de presse et « boycottage » fit son entrée en France en 1881, officialisant une pratique qui existait depuis des siècles, puis est devenu « boycott » récemment, comme dans le reste du monde francophone, à cause de la redondance du suffixe.
vignette|Emblème de la Ligue antiallemande, qui organisait le boycott des produits allemands en France pendant la Première Guerre mondiale.
Le « boycott » est une forme de lutte qui a existé avant qu'il prenne ce nom en 1879.
Les premiers anti-esclavagistes anglais lancèrent une campagne féroce en 1790 pour convaincre leurs concitoyens de renoncer au sucre provenant des Indes occidentales (les Antilles) et produit par des esclaves, au profit du sucre en provenance des Indes orientales (Inde), où l'exploitation de la main d'œuvre se faisait avec un peu plus de retenue.
Pendant la Révolution américaine, à la fin du , le boycott des marchandises anglaises était un moyen utilisé par les colons pour faire pression sur la métropole. Les Fils de la Liberté, une organisation de patriotes américains, eurent recours à l'appel au boycott, notamment sur le thé anglais.
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vignette|250px|Piquet de grève à l'entrée de l'université de Clermont-Ferrand en mars 2005. vignette|Blocus de la SCA Centre de Moulins (Allier) par des agriculteurs en février 2016 lors de la crise agricole|250x250px Le piquet de grève est une forme de grève au cours de laquelle des grévistes se réunissent à l'intérieur et aux alentours du lieu de travail. Le but pour les travailleurs grévistes est de se rassembler et de bloquer autant que possible la production, ce qui implique généralement de dissuader, voire d’empêcher les travailleurs non-grévistes d'aller travailler.
La résistance non violente ou action non violente ou résistance passive est l'utilisation du pouvoir de la non-violence pour accomplir des objectifs socio-politiques au travers de protestations symboliques, de non-coopération économique ou politique, de désobéissance civile ou d'autres méthodes. Cette pratique peut impliquer une résistance par inertie, opposée à un actif. Les formes de la résistance non violente sont extrêmement variées.
La révolte ou rébellion est un sentiment d’indignation et de réprobation face à une situation. Elle est aussi, dans un sens plus précis, le refus actif d'obéir à une autorité. Elle correspond donc à une large gamme de comportements : non-respect des normes sociales, insoumission, désobéissance, tentatives d’insurrection, mutineries, rébellions, tollés. Celui qui se soulève de cette façon est désigné comme rebelle. La révolte peut être individuelle ou collective, organisée ou désorganisée.
In 1971 a group of environmental activists set sail from Canada to protest nuclear testing. With this journey the organization Greenpeace was born. 50 years old this year, Greenpeace and other organizations like it have seen environmental concerns move fro ...