FastiIn ancient Rome, the fasti (Latin plural) were chronological or calendar-based lists, or other diachronic records or plans of official and religiously sanctioned events. After Rome's decline, the word fasti continued to be used for similar records in Christian Europe and later Western culture. Public business, including the official business of the Roman state, had to be transacted on dies fasti, "allowed days". The fasti were the records of this business.
Glossary of ancient Roman religionThe vocabulary of ancient Roman religion was highly specialized. Its study affords important information about the religion, traditions and beliefs of the ancient Romans. This legacy is conspicuous in European cultural history in its influence on later juridical and religious vocabulary in Europe, particularly of the Christian Church. This glossary provides explanations of concepts as they were expressed in Latin pertaining to religious practices and beliefs, with links to articles on major topics such as priesthoods, forms of divination, and rituals.
Fêtes religieuses romainesDans la Rome antique, les fêtes religieuses romaines, manifestations vivantes de la religion, sont inscrites dans le calendrier. On dénombrait seulement 55 jours ouvrables, les autres jours étant des fêtes religieuses et autres occasions de se réjouir en célébrant les dieux. Les fêtes publiques (feriae publicae) sont, pour la plupart, fixes (stativae), les autres étant mobiles (indictivae) ou exceptionnelles (imperativae).
SaturnalesLes Saturnales (en latin Saturnalia) sont, durant l'antiquité romaine, des fêtes se déroulant la semaine du solstice d'hiver (soit du 17 au 23 décembre) qui célèbrent le dieu Saturne et sont accompagnées de grandes réjouissances populaires. Durant cette période, les barrières sociales disparaissent, on organise des repas, échange des cadeaux, offre des figurines aux enfants et on décore les maisons, avec des plantes vertes, du houx, du gui et du lierre notamment. D'autres fêtes furent instituées ultérieurement à cette période, dont Noël.
Robigaliavignette|Fragment des Fasti Praenestini pour le mois d'avril, montrant les abréviations pour les Vinalia et les Robigalia (VIN et ROB), et les lettres nundinales sur le bord gauche. Musée national romain, Palais Massimo alle Terme. Dans la Rome antique, les Robigalia sont une fête religieuse destinée à favoriser les récoltes. Créée selon la légende, par le roi Numa, en 704 av. J.-C.
Culte impérial dans la Rome antiqueLe culte impérial dans la Rome antique est une expression moderne, sans équivalent en latin, qui correspond à des rituels centrés sur les empereurs romains et parfois des membres de leur famille, avant ou après leur mort. Il apparut sous le principat d'Auguste et s'étendit rapidement en Italie et dans les provinces avec des variations régionales importantes. thumb|230px|Illustration de l'Auguste de Prima Porta tirée d'un livre d'histoire de Rome destiné à la jeunesse, 1880.
BigeUn bige (en latin biga) est un char antique à deux roues, attelé de deux chevaux de front, généralement utilisé pour les courses. Dans l’Antiquité, aux Jeux olympiques antiques, la course de biges (en grec / sunôrís) remonte au début du ; elle comporte huit tours de piste, soit environ. Des épreuves similaires, mais réservées aux poulains, sont créées peu avant 300 av. J.-C. pour le quadrige, en 268 av. J.-C. pour le bige. Les Étrusques pratiquaient ces courses, comme le montrent les fresques de la Tombe des Biges, reconstituée à Tarquinia.
Course de charsLes courses de chars (en grec ancien : / harmatodromia, en ludi circenses) constituaient l'événement à nature sportive et religieuse majeure de l’Antiquité grecque, de l’Empire romain et de l'Empire byzantin, pratiquées dans le cadre de nombreux jeux panhelléniques. Les graves blessures et quelquefois la mort que ces courses pouvaient entraîner pour les participants donnaient à l'épreuve une dimension spectaculaire qui contribua à son succès auprès du public.
Triomphe romainLe triomphe (triumphus en latin) est une cérémonie romaine au cours de laquelle un général vainqueur défile dans Rome à la tête de ses troupes. À défaut de ce triomphe majeur, un général vainqueur pouvait recevoir une ovatio (ovation). Cette cérémonie comprend depuis l'époque républicaine un adventus (entrée du général dans Rome), suivie d'une procession menant le vainqueur sur son char au Capitole, où il offre un sacrifice à une des trois divinités de la Triade capitoline, Jupiter Capitolin.
Collège des pontifesLe collège pontifical, ou collège des pontifes, formait un collège de prêtres qui était le plus prestigieux des quatre grands collèges religieux (quattuor amplissima collegia) de prêtres romains. Le membre le plus important du collège était le pontifex maximus. Le rôle du collège était de s'assurer que les dieux étaient en accord avec l'État. Les pontifes, responsables du calendrier religieux, dictaient l'activité des Romains. Il était constitué par ailleurs : du rex sacrorum ; des pontifes ; des flamines affectés au culte d'un seul dieu ; des vestales pour partie.