Relational psychoanalysis is a school of psychoanalysis in the United States that emphasizes the role of real and imagined relationships with others in mental disorder and psychotherapy. 'Relational psychoanalysis is a relatively new and evolving school of psychoanalytic thought considered by its founders to represent a "paradigm shift" in psychoanalysis'.
Relational psychoanalysis began in the 1980s as an attempt to integrate interpersonal psychoanalysis's emphasis on the detailed exploration of interpersonal interactions with British object relations theory's ideas about the psychological importance of internalized relationships with other people. Relationalists argue that personality emerges from the matrix of early formative relationships with parents and other figures. Philosophically, relational psychoanalysis is closely allied with social constructionism.
An important difference between relational theory and traditional psychoanalytic thought is in its theory of motivation, which would 'assign primary importance to real interpersonal relations, rather than to instinctual drives'. Freudian theory, with a few exceptions, proposes that human beings are motivated by sexual and aggressive drives. These drives are biologically rooted and innate. They are ultimately not shaped by experience.
Relationalists, on the other hand, argue that the primary motivation of the psyche is to be in relationships with others. As a consequence early relationships, usually with primary caregivers, shape one's expectations about the way in which one's needs are met. Therefore, desires and urges cannot be separated from the relational contexts in which they arise; motivation is then seen as being determined by the systemic interaction of a person and his or her relational world. Individuals attempt to re-create these early learned relationships in ongoing relationships that may have little or nothing to do with those early relationships. This re-creation of relational patterns serves to satisfy the individuals' needs in a way that conforms with what they learned as infants.
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Une relation thérapeutique est un ensemble d'échanges intervenant entre deux personnes dans le cadre d'un soin apportée à l'une d'elles, soit en complément à d'autres actions (prescription), soit comme modalité principale et privilégiée. La notion de relation thérapeutique fait allusion à la dimension relationnelle dans les soins, mais elle peut être développée dans deux sens qui ne sont pas équivalents : le premier est celui de l’accompagnement relationnel de soins médicaux ou paramédicaux qui visent à établir avec le malade une coopération de sa part favorable à la réussite de soins biologiques, chirurgicaux ou rééducatifs.
Le clivage de l'objet est une notion psychanalytique introduite par Melanie Klein et désignant un mécanisme de défense primitive contre l'angoisse. Pour Melanie Klein, le mécanisme du « clivage de l'objet » est la défense la plus primitive qui soit contre l'angoisse : l'objet, que visent les pulsions érotiques et destructives, se trouve scindé entre un « bon » et un « mauvais » objet dont les destins respectifs sont alors .
L'association libre est la première règle fondamentale de la cure psychanalytique. Elle consiste pour l'analysant à exprimer les pensées qui lui viennent à l'esprit à partir d'un élément donné ou de façon spontanée, dans le cadre des séances analytiques. Historiquement, Sigmund Freud fut d'abord influencé par le récit du traitement de Bertha Pappenheim (dite Anna O.) effectué par Josef Breuer. Celle-ci qualifiait les séances avec Breuer de « ramonage de cheminée » et inventa le terme de « talking cure ».