Économie du savoirL'économie du savoir, l'économie de la connaissance, l'économie de l'immatériel ou encore le capitalisme cognitif, est, selon certains économistes, une nouvelle phase de l'histoire économique qui aurait commencé dans les années 1990. Le concept est établi par Fritz Machlup en 1962 par la publication de son livre The production and distribution of knowledge in the United States ; sa thèse de 1977 montre que près de 45 % des employés aux États-Unis manipulent de l'information.
Économie (activité humaine)alt=Vue de Manhattan depuis l'Océan.|vignette|317x317px|Manhattan, le quartier des affaires de New York. Un espace à l'activité économique florissante. L'économie (du grec ancien / oikonomía : « administration d'un foyer ») est une activité humaine qui consiste en la production, la distribution, l'échange et la consommation de biens et de services. On distingue différents systèmes d'échange parmi lesquelles l'économie de don, l'économie de marché ou encore l'économie du troc.
Knowledge marketA knowledge market is a mechanism for distributing knowledge resources. There are two views on knowledge and how knowledge markets can function. One view uses a legal construct of intellectual property to make knowledge a typical scarce resource, so the traditional commodity market mechanism can be applied directly to distribute it. An alternative model is based on treating knowledge as a public good and hence encouraging free sharing of knowledge. This is often referred to as attention economy.
Société de l'informationLa société de l'information désigne un état de la société dans lequel les technologies de l'information et de la communication jouent un rôle fondamental. Elle est en général placée dans la continuité de la société industrielle. De même, la notion de société de l'information a été inspirée par les programmes des grands pays industriels. Par ailleurs, l'expression de société de la connaissance est parfois préférée à celle de société de l'information. Elle est au centre de différents débats dont celui concernant la « fracture numérique ».