thumb|Tout le plastique de la machine de droite a été imprimé par la machine de gauche. Adrian Bowyer (à gauche) et Vik Olliver (à droite) sont des membres du projet RepRap.
RepRap (contraction de l'anglais Replication Rapid prototyper, pouvant se traduire par concepteur de réplication rapide) est un projet britannique de l'université de Bath visant à créer une imprimante 3D en grande partie autoréplicative et libre (c'est-à-dire sans brevets, et dont les plans sont disponibles pour tout le monde) sous licence GNU. Elle reprend donc les principes du projet Fab@home en y ajoutant l'autoréplication. RepRap désigne également les réalisées par le projet RepRap. Ce projet/machines réelles est maintenant développé très activement par une communauté mondiale, à la manière du logiciel libre.
Par « autoréplication » il ne faut pas entendre que la RepRap pourrait s'autorépliquer, même en partie, de manière autonome, mais qu'elle peut imprimer une partie des pièces la constituant : on peut avec elle fabriquer une partie des pièces d'autres RepRaps.
Dans les grandes lignes, le projet RepRap a pour but de permettre la création d'une machine capable de se répliquer. Cette machine pourrait être utilisée pour fabriquer des prototypes de pièces ou d'objets, et ceci de façon rapide, mais pour l'instant uniquement en plastique.
La RepRap est une imprimante 3D capable de fabriquer des objets en trois dimensions à partir d'un modèle conçu par ordinateur. Les auteurs du projet décrivent l'« auto-réplication » comme la capacité à reproduire les composants nécessaires à la construction d'une copie de la machine elle-même. C'est l'un des buts du projet.
À cause de la capacité potentielle d'auto-réplication de la machine, les auteurs envisagent la possibilité de distribuer à faible coût des unités RepRap aux communautés et à tout un chacun, leur permettant de créer (ou de télécharger via internet) des objets complexes sans la nécessité de faire appel à de coûteuses infrastructures industrielles. Ils spéculent sur l'avenir de RepRap en la voyant s'auto-répliquer exponentiellement.
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1ère année: bases nécessaires à la représentation informatique 2D (3D).
Passage d'un à plusieurs logiciels: compétence de choisir les outils adéquats en 2D et en 3D.
Mise en relation des outils de CAO
vignette|droite|Un panneau dans la Silicon Valley qui exhorte l'automobiliste : "Inventez.". La culture maker (de l'anglais make, lit. faiseur) est une culture (ou sous-culture) contemporaine constituant une branche de la culture Do it yourself (DIY) (qu'on peut traduire en français par « faites-le vous-même ») tournée vers la technologie et la création en groupe. La communauté des makers apprécie de prendre part à des projets orientés ingénierie.
Le dépôt de fil fondu (DFF) ou Fused deposition modeling (FDM) ou encore Fused Filament Fabrication (FFF) est une technologie d'impression 3D. On appelle aussi ce procédé impression 3D par extrusion de matériau Material Extrusion 3D printing (MEX). Cette technologie consiste à déposer de la matière à l'état liquide couche par couche. La technologie utilise le plus souvent un filament de matière polymère qui est fondu puis extrudé pour construire une pièce couche par couche.
vignette|Logo des fab labs. Un fab lab (contraction de l'anglais fabrication laboratory, « laboratoire de fabrication ») est un tiers-lieu de type makerspace cadré par le Massachusetts Institute of Technology (MIT) et la FabFoundation en proposant un inventaire minimal permettant la création des principaux projets fab labs, un ensemble de logiciels et solutions libres et open-sources, les Fab Modules, et une charte de gouvernance, la Fab Charter.
Polymer-based nanocomposites emerged in the 1960s as a groundbreaking approach to advanced materials. By incorporating robust, durable, and multifunctional nanomaterials into a polymer matrix, the performance of nanocomposites has significantly surpassed t ...
This paper presents a new process for additively manufacturing purely metallic antennas based on Fused Deposition Modeling (FDM), with a proprietary filament developed using a hot extrusion method and composed by a mix of rounded shape copper powders with ...
Inorganic perovskite solar cells (PSCs) suffer from serious carrier recombination and open-circuit voltage loss because of surface defects and unfavorable energy level alignment. Herein, a polylactic acid (PLA) modification approach to improve the performa ...