Hell money () is a modernized form of joss paper printed to resemble legal tender bank notes. The notes are not an official form of recognized currency or legal tender as their sole intended purpose is to be offered as burnt offerings to the deceased as a solution to resolve their assumed monetary problems in the afterlife. This ritual has been practiced by modern Chinese and across East Asia since the late 19th century, and some Wicca-based faiths in recent years have adopted this practice. Early 20th century examples bore resemblance to minor commercial currency of the type issued by businesses across China until the mid-1940s.
The identification of this type of joss paper as "hell bank notes" or "hell money" is largely a Western construct, since these items are simply regarded as yet another form of joss paper (冥幣, 陰司紙, 紙錢, or 金紙) in East Asian cultures and have no special name or status.
The word hell on hell bank notes refers to Diyu (, "underworld prison"; also 地府, dìfǔ, "underworld court"). These words are printed on some notes. In traditional Chinese belief, it is thought to be where the souls of the dead are first judged by the Lord of the Earthly Court, Yama (Yanluo Wang). After this particular judgment, they are either escorted to heaven or sent into the maze of underworld levels and chambers to atone for their sins. People believe that even in the earthly court, spirits need to use money.
The concept of Diyu parallels purgatory as taught by certain Christian denomininations. A popular anecdote claims that the word hell was introduced to China by Christian missionaries, who preached that all non-Christian Chinese people would go to hell after death. The word "Hell" was thus misinterpreted to be the proper English term for the afterlife, and was thusly adopted as such. Some printed notes attempt to correct this by omitting the word "hell" and sometimes replacing it with "heaven" or "paradise". These particular bills are usually found in joss packs meant to be burned for Chinese deities, and are usually differently colored but have the same design as hell bank notes.
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L'Enfer, du latin , est, selon de nombreuses religions, un état de souffrance extrême , douleur expérimentée après la mort par ceux qui ont commis des crimes et des péchés dans leur vie terrestre. La définition de l'enfer et ses caractéristiques sont variables d'une religion à l'autre et sont parfois sujettes à différentes interprétations au sein d'une même religion. Ainsi, selon le bouddhisme, l'enfer est avant tout un état d'esprit de l'individu soumis aux désirs et passions tandis que l'enfer (ou les enfers) désigne aussi simplement le séjour des morts ou d'une partie d'entre eux, pour d'autres.
vignette|250x250px|Billets funéraires et papier joss pliés en forme de yuanbao brûlés près d'une tombe durant la Fête des Fantômes.Les billets funéraires (ou billets de banque funéraires) sont des imitations de billets de banque, aux montants souvent mirobolants (on trouve des billets de 10 milliards de dollars à Singapour). Ils n'ont pas cours légal et ils sont brûlés lors de rites funéraires de nombreux pays d'Asie de l'Est et du Sud-Est afin de fournir aux défunts de l'argent pour l'au-delà.
Diyu ou Di Yu (chinois traditionnel : 地獄 ; chinois simplifié : 地狱 ; hanyu pinyin : Dìyù ; Wade-Giles : Ti-yü ; japonais : 地獄 ; Jigoku, littéralement « Prison sous terre ») est le royaume des morts ou l'enfer dans la mythologie chinoise. Basé sur le concept bouddhiste de Naraka combiné aux croyances traditionnelles chinoises concernant l'au-delà, le concept de Di Yu incorpore des idées taoïstes, bouddhistes et issues de la religion populaire. C'est un lieu de purgatoire où les âmes sont purifiées en vue de leur réincarnation.