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L’économie de la Nouvelle-Zélande, pays développé prospère, repose essentiellement sur le secteur tertiaire notamment le tourisme (on a recensé plus de 2 millions de touristes en 2012) même si le secteur primaire, via l'agriculture et le secteur minier, y joue un rôle plus important que dans les autres pays développés. Le pays est fortement dépendant du commerce international, notamment avec l'Australie, l'Union européenne, les États-Unis, la Chine, la Corée du Sud et le Japon. Les réformes de libéralisation des dernières décennies ont supprimé les barrières empêchant l'investissement étranger. En 2005, la Banque mondiale déclare que la Nouvelle-Zélande est le pays le plus accueillant pour faire des affaires, avant Singapour. Le pays est la économique mondiale selon la Central Intelligence Agency en 2012. Les réformes économiques lancées en Nouvelle-Zélande depuis le début des années 1980, notamment par l'ancien ministre des finances Roger Douglas ont permis la libéralisation du pays, autrefois tourné vers le protectionnisme économique. Selon le Fonds monétaire international, la Nouvelle-Zélande a un produit intérieur brut par habitant en parité de pouvoir d'achat de dollars américains, ce qui place le pays au mondial. L'économie est fortement à la hausse depuis les années 2000, avec l'apparition de plusieurs industries très importantes. Le taux de chômage y est relativement bas (6 % en 2013 contre 11,5 % en 1991). La Nouvelle-Zélande fait partie de la Coopération économique pour l'Asie-Pacifique (APEC), de l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) et Organisation mondiale du commerce (OMC). L'économie néo-zélandaise s'est historiquement construite sur une gamme étroite de matières premières telles que la laine, la viande et les produits laitiers. Par exemple, les exportations de produits laitiers représentaient 22 % des exportations totales de la Nouvelle-Zélande en 1920 tandis qu'elles avaient augmenté jusqu'à 42 % des exportations totales en 1930.