In graph-theoretic mathematics, a cycle double cover is a collection of cycles in an undirected graph that together include each edge of the graph exactly twice. For instance, for any polyhedral graph, the faces of a convex polyhedron that represents the graph provide a double cover of the graph: each edge belongs to exactly two faces.
It is an unsolved problem, posed by George Szekeres and Paul Seymour and known as the cycle double cover conjecture, whether every bridgeless graph has a cycle double cover. The conjecture can equivalently be formulated in terms of graph embeddings, and in that context is also known as the circular embedding conjecture.
The usual formulation of the cycle double cover conjecture asks whether every bridgeless undirected graph has a collection of cycles such that each edge of the graph is contained in exactly two of the cycles. The requirement that the graph be bridgeless is an obvious necessary condition for such a set of cycles to exist, because a bridge cannot belong to any cycle. A collection of cycles satisfying the condition of the cycle double cover conjecture is called a cycle double cover. Some graphs such as cycle graphs and bridgeless cactus graphs can only be covered by using the same cycle more than once, so this sort of duplication is allowed in a cycle double cover.
snark (graph theory)
A snark is a special case of a bridgeless graph, having the additional properties that every vertex has exactly three incident edges (that is, the graph is cubic) and that it is not possible to partition the edges of the graph into three perfect matchings (that is, the graph has no 3-edge coloring, and by Vizing's theorem has chromatic index 4). It turns out that snarks form the only difficult case of the cycle double cover conjecture: if the conjecture is true for snarks, it is true for any graph.
observes that, in any potential minimal counterexample to the cycle double cover conjecture, all vertices must have three or more incident edges.
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Le théorème de Vizing est un théorème de la théorie des graphes qui stipule que la coloration des arêtes d'un graphe G peut s'effectuer à l'aide de Δ+1 couleurs au maximum, où Δ est le degré maximal du graphe G. Il est dû à Vadim G. Vizing. Une coloration des arêtes d'un graphe consiste à attribuer à chaque arête une couleur, en évitant que deux arêtes ayant une extrémité commune soient de la même couleur. On note χ′(G) le nombre minimum de couleur nécessaire pour avoir une coloration des arêtes.
En théorie des graphes, une branche des mathématiques, un snark est un graphe cubique connexe, sans isthme et d'indice chromatique égal à 4. En d'autres termes, c'est un graphe dans lequel chaque sommet a trois voisins, et dont les arêtes ne peuvent pas être colorées avec seulement 3 couleurs sans que deux arêtes de même couleur ne se rencontrent en un même sommet (d'après le théorème de Vizing, l'indice chromatique d'un graphe cubique est 3 ou 4). Pour éviter les cas triviaux, on exige souvent de plus que les snarks aient une maille d'au moins 5.
thumb|Coloration des arêtes du graphe de Desargues avec trois couleurs. En théorie des graphes et en algorithmique, une coloration des arêtes d'un graphe consiste à attribuer à chaque arête une couleur, en évitant que deux arêtes ayant une extrémité commune soient de la même couleur. La figure ci-contre est un exemple de coloration d'arêtes correcte. On vérifie en effet qu'aucun sommet n'est commun à deux arêtes de même couleur. On remarquera qu'ici, il n'aurait pas été possible de colorer les arêtes du graphe avec seulement deux couleurs.
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