vignette|Microstructure d'origine organique : celle d'un œuf, mise en évidence par une source lumineuse.
Le concept de microstructure peut se définir indépendamment des matériaux considérés (métaux, céramiques ou matières plastiques). Schatt et Worch la définissent ainsi :
Les zones de la microstructure, appelées cristallites (grains, charges ou zones amorphes) sont généralement de taille microscopique et peuvent être caractérisées, aussi bien qualitativement que quantitativement, au microscope optique. Cette discipline recouvre différents domaines : métallographie pour les métaux, céramographie pour les céramiques et plastographie pour les polymères.
Les matériaux monocristallins et amorphes ne présentent aucune microstructure visible au microscope optique.
Pour les solides métalliques et des alliages, on distingue la microstructure primaire et la microstructure secondaire, bien que, dans le langage courant, ce terme renvoie le plus souvent à la microstructure secondaire.
vignette|Schéma simplifié d'une solidification non-dendritique :(1) formation de sites de cristallisation, (2) croissance épitactique des cristaux, (3) microstructure finale.
La microstructure primaire se forme lors du refroidissement d'une substance cristalline en fusion : un exemple spectaculaire en est donné par les figures de Widmanstätten, qui apparaissent sur le fer météorique. À la température de solidification, il se forme des cristaux autour de sites internes distribués aléatoirement dans le mélange pâteux. Ces cristaux croissent tout au long du refroidissement jusqu'à ce que leurs périphéries parviennent au contact. Selon qu'il s'agit du refroidissement d'une substance monophasique ou polyphasique, la cristallisation peut s'accompagner le long des dendrites de phénomènes de ségrégation. Les ségrégations viennent de la différence de température de solidification et de solubilité des différentes substances.
Les cristaux isolés, selon les circonstances de la solidification et leur position dans la substance en fusion, présentent des orientations aléatoires et se gênent mutuellement dans leur croissance.
Cette page est générée automatiquement et peut contenir des informations qui ne sont pas correctes, complètes, à jour ou pertinentes par rapport à votre recherche. Il en va de même pour toutes les autres pages de ce site. Veillez à vérifier les informations auprès des sources officielles de l'EPFL.
The course will provide fundamental key aspects governing glass as a material and the microstructuring of glass using a variety of techniques, like dry and wet etching, mechanical and laser machining
Ce cours constitue une introduction aux principes qui régissent l'élaboration, la microstructure et les propriétés des matériaux métalliques. Trois systèmes principaux d'alliages (Al, Cu, Fe) seront u
Ce cours est une introduction aux transformations de phases liquide-solide et solide-solide. Il aborde les aspects thermodynamiques et cristallographiques. Il traite principalement des matériaux métal
La ténacité est la capacité d'un matériau à résister à la propagation d'une fissure. On peut aussi définir la ténacité comme étant la quantité d'énergie qu'un matériau peut absorber avant de rompre, mais il s'agit d'une définition anglophone. En anglais, on fait la différence entre « toughness », l'énergie de déformation à rupture par unité de volume (, ce qui correspond aussi à des pascals) et « », la ténacité au sens de résistance à la propagation de fissure.
vignette|Microstructure d'origine organique : celle d'un œuf, mise en évidence par une source lumineuse. Le concept de microstructure peut se définir indépendamment des matériaux considérés (métaux, céramiques ou matières plastiques). Schatt et Worch la définissent ainsi : Les zones de la microstructure, appelées cristallites (grains, charges ou zones amorphes) sont généralement de taille microscopique et peuvent être caractérisées, aussi bien qualitativement que quantitativement, au microscope optique.
La dureté d'un matériau est définie comme la résistance mécanique qu'un matériau oppose à la pénétration. Pour mesurer la dureté d'un matériau, un pénétrateur de faible déformabilité (cône ou sphère en diamant, carbure de tungstène lié au cobalt ou acier extra-dur) est enfoncé à la surface du matériau à tester avec une force connue pendant un temps donné. Plus l'empreinte laissée est petite, plus le matériau est dur. La dureté se mesure sur différentes échelles selon le type de matériau considéré.
Explore les contraintes sur les mécanismes de déformation, les compositions de matériaux, les microstructures, les processus de formage des métaux et les méthodes de fabrication.
Se penche sur l'utilisation de mesures de résistivité électrique pour caractériser les caractéristiques microstructurales des systèmes métalliques, y compris la surveillance de la cinétique des précipitations et l'évaluation de l'évolution de la solubilité des solides.
As historical stone masonry structures are vulnerable and prone to damage in earthquakes, investigating their structural integrity is important to reduce injuries and casualties while preserving their
EPFL2022
To reduce the CO2 footprint of construction materials, concrete producers blend their cement with Supplementary Cementitious Materials (SCMs). SCMs such as fly ash or blast furnace slag are mostly the
EPFL2022
,
Additive manufacturing offers the opportunity to produce complex geometries from novel alloys with improved properties. Adapting conventional alloys to the process-specific properties can facilitate r