vignette|Un hélicoptère se pose sur l'hélisurface du Sealion, sous-marin d'attaque conventionnel de classe Balao, ici reconverti en sous-marin de transport
Un sous-marin d'attaque conventionnel est un sous-marin militaire utilisant une propulsion conventionnelle (la plupart du temps, un moteur Diesel combiné à des batteries électriques), contrairement à un sous-marin nucléaire d'attaque qui dispose d'un réacteur nucléaire. Du début du jusqu'aux années 1960, c'était le seul type de sous-marin existant.
Un sous-marin d'attaque est un sous-marin destiné à la chasse aux autres sous-marins. Il est spécialement conçu pour attaquer et pour couler d'autres sous-marins, des bâtiments de surface militaire et des navires marchands. Dans les marines soviétique et russe, ils sont appelés « sous-marins polyvalents ». Ils sont également utilisés pour protéger les unités de surface amies ainsi que les sous-marins lance-missiles. Certains sous-marins d'attaque sont armés de missiles de croisière montés dans des tubes de lancement verticaux, augmentant la portée de leurs missions potentielles pour inclure des cibles terrestres.
Les sous-marins d'attaque peuvent être soit à propulsion nucléaire, soit diesel-électrique (« conventionnellement »). Dans le système de dénomination de la marine américaine et dans celui, équivalent, de l'OTAN (STANAG 1166), les sous-marins d'attaque à propulsion nucléaire sont connus sous le nom de SSN (Sub-Surface Nuclear) et leurs prédécesseurs diesel-électriques sous celui de SSK (code OTAN : SS pour Sub-Surface ou SSK - K pour kérosène, propulsion thermique - abréviation retirée de la nomenclature officielle depuis 2007). Dans l'US Navy, les SSN sont officieusement appelés « attaques rapides. »
La propulsion nucléaire, totalement indépendante de l'atmosphère, apporte un avantage déterminant en mobilité comme en discrétion ; car les sous-marins classiques sont contraints de remonter en surface (ou à l'immersion périscopique en utilisant un schnorchel) pour alimenter les moteurs diesel en air (oxygène), nécessaire pour recharger leurs batteries électriques.
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La lutte anti-sous-marine (ASM) désigne l'ensemble des tactiques de combat et de protection contre la menace représentée par les sous-marins. Elle met en œuvre plusieurs moyens complémentaires : navires de surface, des escorteurs, équipés de sonars (essentiellement des frégates et des corvettes) ; avion de patrouille maritime ; hélicoptères ASM ; sous-marins d'attaque. Le dispositif est dirigé depuis un des escorteurs anti sous-marin, à bord duquel est embarqué le commandant de l'opération de lutte anti-sous-marine.
vignette|Lors du lancement du sous-marin nucléaire d'attaque (SNA) de la classe Los Angeles le au chantier naval Electric Boat de Groton, on distingue les trois premiers SNLE de la classe Ohio à divers stades d'achèvement. Un sous-marin nucléaire est un navire sous-marin à propulsion nucléaire navale. L'expression sous-marin nucléaire, qui désigne la source d'énergie du navire, est parfois confondue avec la nature de son armement ; un sous-marin à armement nucléaire est plutôt désigné comme sous-marin nucléaire lanceur d'engins (SNLE).
La propulsion nucléaire navale ou propulsion nucléaire maritime est un type de propulsion des sous-marins et navires de surface, équipés d'un ou plusieurs réacteurs nucléaires produisant de la chaleur transformant de l'eau en vapeur pour activer une turbine ou un ensemble électrique. La technologie américaine fut la première à aboutir et fut partagée avec le Royaume-Uni. L'URSS et la France réalisèrent des développements séparés. L'Allemagne de l’Ouest et le Japon développèrent des prototypes uniques de cargo sans lendemain.
The dissipation rate of turbulent kinetic energy per unit mass, epsilon, vertical eddy diffusivity, K-z, and the rate of dissipation of temperature variance, X, are estimated over the sloping sides of Lake Geneva both far from and near the bed, using tempe ...
American Society of Limnology and Oceanography2002