Zhonghua minzu (, ) is a political term in modern Chinese nationalism related to the concepts of nation-building, ethnicity, and race in the Chinese nationality.
Zhonghua minzu was established during the early Beiyang (1912–1927) and Nationalist (1928–1949) periods to include Han people and four major non-Han ethnic groups: the Man (Manchus), the Meng (Mongols), the Hui (ethnic groups of Islamic faith in Northwest China), and the Zang (Tibetans), under the notion of a republic of five races ( or Wǔzú gònghé) advocated by Sun Yat-sen and the Chinese Nationalist Party. It is slightly different from the word Hanzu, a word is only used to refer to the Han Chinese.
Zhonghua minzu was initially rejected in the People's Republic of China (PRC) but resurrected after Mao Zedong's death to include the mainstream Han Chinese and 55 other ethnic groups as a huge Chinese family. Since the late 1980s, the most fundamental change of the PRC's nationalities and minorities policies is the renaming from "the Chinese People" (中国人民 or Zhōngguó rénmín) to "the Chinese Nation" (Zhōnghuá mínzú), signalling a shift away from a multi-national communist people's statehood of China to one multi-ethnic Chinese nation state with one single Chinese national identity.
Qing dynastyNames of the Qing dynasty and History of the Republic of China
An older similar term would be Huaxia, but the immediate roots of the Zhonghua minzu lie in the Qing dynasty founded by the Manchu clan Aisin Gioro in what is today Northeast China. The Qing Emperors sought to portray themselves as ideal Confucian rulers for the Han Chinese, Great Khans for the Mongols, and Chakravartin kings for Tibetan Buddhists.
"Dulimbai Gurun" (Written ) is the Manchu name for China. It has the same meaning as the Chinese name "Zhongguo" (written 中國, meaning "Middle Kingdom"). The Qing identified their state as "China" (Zhongguo), and referred to it as "Dulimbai Gurun" in Manchu.
Cette page est générée automatiquement et peut contenir des informations qui ne sont pas correctes, complètes, à jour ou pertinentes par rapport à votre recherche. Il en va de même pour toutes les autres pages de ce site. Veillez à vérifier les informations auprès des sources officielles de l'EPFL.
Le sinocentrisme est une approche ethnocentrique considérant la Chine comme centrale ou unique, relativement aux autres pays. Dans les époques pré-modernes, cette approche prenait la forme d'un point de vue selon lequel la Chine était la seule civilisation du monde, en considérant les nations ou ethnies étrangères comme « barbares » à des degrés divers ; cette approche était connue en chinois comme la distinction Hua-Yi (華 et 夷). À l'époque moderne, le sinocentrisme peut consister en l'attribution d'une importance ou suprématie de la Chine sur les autres nations.
Le terme de nationalisme chinois se réfère aux mouvements, croyances et théories politique, historique, géographique et culturelle qui soutiennent l’idée d’une culture et d’un peuple Chinois unique et uni. Une des difficultés que pose cette interprétation sont les nombreuses ambiguïtés qui recouvrent le terme Chinois. Le nationalisme chinois s’est formé de nombreuses et diverses influences, parmi lesquelles la pensée traditionnelle chinoise (teintée de confucianisme), le progressisme américain, le marxisme, ou encore la pensée ethnologique russe.
Un État plurinational ou État multinational ou encore État-multination, est défini comme un État formé « de deux ou plusieurs nations existant en tant que communautés différentes, chacune ayant conscience de sa spécificité et manifestant le désir de la conserver. ». Le terme « nation » fait parfois référence à une nation ethnique sans territoire bien défini, parfois à une nation civique dotée d’un territoire et d’institutions politiques auxquelles participent tous les citoyens au-delà des distinctions ethniques.