Rizlan Bernier-LatmaniHIGHER EDUCATION
Summer course: Advances in Genome Technology and Bioinformatics Course at the Marine Biology Laboratory in Woods Hole, MA. October 2005.
Ph.D. 2001 Civil and Environmental Engineering, Stanford University, CA
(Advisor, Jim Leckie, Biodegradation of uranyl (UO22 )-complexed citrate and implications for uranyl mobility in the subsurface)
M.S. 1995 Civil and Environmental Engineering, Stanford University, CA
B.S. 1993 Natural Resources with Honors, Cornell University, Ithaca, NY
PROFESSIONAL EMPLOYMENT
2013-present Associate professor with tenure, School of Architecture, Civil and Environmental Engineering, Swiss Federal Institute of Technology, Lausanne
2005-2013 Assistant professor tenure track, School of Architecture, Civil and Environmental Engineering, Swiss Federal Institute of Technology, Lausanne
2001-2005 Post-Graduate Researcher, Scripps Institution of Oceanography, La Jolla, CA (PI: Brad Tebo)
1995-2001 Graduate Research Assistant, Stanford University (Advisor: Jim Leckie)
RESEARCH INTERESTS
Gemicrobiology, metal-bacteria interactions, biological reduction and oxidation of metals, biological nanoparticle formation; Characterization of microbial communities in terrestrial environments; Using genomic, microscopic and spectroscopic tools to understand metal transformations by microorganisms.
ACADEMIC HONORS
Rotary Foundation University Professor grant, 2004.
Swiss National Science Foundation Post-doctoral Fellowship, 2001.
Leon B. Reynolds Memorial Scholarship in the School of Engineering at Stanford University, 1995-96.
Graduated with Honors from Cornell University, 1993.
BIBLIOMETRY
http://www.researcherid.com/rid/E-4398-2011
ResearcherID: E-4398-2011 Rakesh ChawlaOriginaire d'Inde, Rakesh Chawla y est né en 1947. Après avoir obtenu son doctorat en génie nucléaire à l'Imperial College de l'Université de Londres en 1970, il travaille jusqu'en 1972 à Winfrith comme Research Fellow de la United Kingdom Atomic Energy Authority.
De 1972 à 1978, il est engagé comme professeur assistant par l'Institut Indien de Technologie à Kanpur dans le cadre du programme Génie Nucléaire et Technologie. Depuis 1978, il travaille à l'Institut Paul Scherrer (PSI) à Würenlingen-Villigen dans le département de recherche Energie Nucléaire. En tant que chef de projet, il est responsable des divers travaux R&D, comme les études faites sur le réacteur de recherche PROTEUS.
En 1994, il est nommé professeur extraordinaire en physique des réacteurs au Département de physique de l'EPFL, poste qui comprend les activités d'enseignement à l'EPFL et la direction du Laboratoire de physique des réacteurs et de technique des systèmes au PSI. En 1997, il est nommé professeur ordinaire son enseignement porte sur les aspects physiques du génie nucléaire et les travaux pratiques utilisant le réacteur CROCUS à l'EPFL. Ses recherches actuelles comprennent les travaux expérimentaux et analytiques liés à la sécurité des systèmes avancés, au cycle de combustible et à la transmutation des déchets, ainsi qu'au comportement dynamique des centrales nucléaires.
Olivier SchneiderAprès une thèse en physique des particules à l'Université de Lausanne, soutenue en 1989, Olivier Schneider rejoint le LBL, Lawrence Berkeley Laboratory (Californie), pour travailler sur l'expérience CDF au Tevatron de Fermilab (Illinois), d'abord au bénéfice d'une bourse de chercher débutant du Fonds National Suisse pour la Recherche Scientifique, puis comme post-doc au LBL. Il participe à la construction et à la mise en service du premier détecteur de vertex au silicium fontionnant avec succès auprès d'un collisionneur hadronique, détecteur qui a permis la découverte du sixième quark, appelé "top". Dès 1994, il revient en Europe et participe à l'expérience ALEPH au grand collisionneur électron-positon du CERN (Genève), comme boursier puis comme titulaire d'un poste de chercheur au CERN. Il se spécialise en physique des saveurs lourdes. En 1998, il est nommé professeur associé à l'Université de Lausanne, puis professeur extraordinaire à l'EPFL en 2003, et enfin professeur ordinaire à l'EPFL en 2010. Ayant participé depuis 1997 à la préparation de l'expérience LHCb au collisionneur LHC du CERN, entrée en fonction à fin 2009, il en analyse maintenant les données. Il contribue aussi depuis 2001 à l'exploitation des données enregistrées par l'expérience Belle au laboratoire KEK (Tsukuba, Japon). Ces deux expériences étudient principalement les désintégrations de hadrons contenant un quark b, ainsi que la violation de CP, c'est-à-dire le non-respect de la symétrie entre matière et antimatière.
Gervais ChapuisCliquer ici pour une biographie plus complète
Etudes à l'Ecole Polytechnique Fédérale de Zurich (ETHZ) en Suisse. Après son diplôme de cristallographe obtenu en 1966, il prépare sa thèse dans la même institution sous la direction du Prof. A. Niggli qui a été défendue en 1972. Il a poursuivi durant trois ans ses travaux de recherche au Lawrence Berkeley Laboratory en Californie dans le laboratoire du Prof. D. H. Templeton, spécialiste bien connu dans la champ de la diffraction résonante. De retour en Suisse, il rejoint l'Institut de cristallographie nouvellement créé à l'Université de Lausanne sous la direction du Prof. D. Schwarzenbach. En 1991, il est nommé professeur ordinaire puis en 1999, directeur de l'Institut de cristallographie. En 2003, son unité est transférée à l'Ecole Polytechnique Fédérale à Lausanne où il est nommé professeur ordinaire.
G. Chapuis a présidé de nombreux comités et sociétés internationaux dans le domaine de la cristallographie. En particulier, il a présidé le comité des structures apériodiques de l'Union Internationale de cristallographie (IUCr). Il est également membre de la commission de l'enseignement de cette même organisation. Il a également présidé la société suisse de cristallographie.
G. Chapuis est co-éditeur du Journal Acta Crystallographica et participe dans de nombreux comités de lectures pour différentes revues scientifiques consacrées à la cristallographie et à la physique du solide.
Ses domaines de recherche couvrent plus spécifiquement l'étude théorique et expérimentale des structures apériodiques et en particulier les structures incommensurables par diffraction et dynamique moléculaire. Il est l'auteur de plus de trois cents articles scientifiques publiés dans des revues internationales avec arbitrage. De plus G. Chapuis se consacre au développement interactif de l'enseignement de la cristallographie avec les nouvelles technologies de communication accessibles sur Internet.