Néopaganisme finnoisvignette|200x200px|Le Tursaansydän, symbole païen. Le néopaganisme finnois, (suomenusko, « foi finnoise ») est un mouvement de renouveau contemporain de la religion polythéiste présente en Finlande avant l’avènement du christianisme dans la région. Le mouvement Ukonusko (« Foi d'Ukko », organisé autour du dieu Ukko), créé au début du en est un précurseur. Le problème principal que rencontre ce mouvement de néo-païen tient en la nature même de la culture finnoise pré-chrétienne, qui était principalement orale et dont il ne reste que très peu de traces.
Reconstructionist Roman religionRevivals of the ancient Roman polytheistic religion have occurred in several forms in modern times. Seeking to revive traditional Roman cults and mores, they have been known under various names including cultus deorum Romanorum (worship of the Roman gods), religio Romana (Roman religion), the Roman way to the gods (Via romana agli dei), Roman-Italic Religion and Gentile Roman Religion. A number of loosely related organizations have been created during the contemporary period.
Religions de la TerreLes religions de la Terre sont un ensemble de religions et de croyances incluant la vénération de la Terre ou de la Nature en tant que principe supérieur ou divinité, tels que le bouddhisme, fétichisme ou le polythéisme. Elles sont classées dans la branche du paganisme par les chrétiens. Généralement, ces religions sont de nature panthéiste, c’est-à-dire que la divinité suprême y est considérée comme étant immanente à l'Univers : elle est toute création, et se retrouve donc en toute chose existante, y compris les êtres vivants et les humains.
Bardesane d'ÉdesseBardesane d'Édesse ou Bar-Daïsan, littéralement « le Fils du Daïsan » (qui est la rivière qui arrose Édesse) est un philosophe et poète chrétien de Syrie, né en 154 à Édesse, mort en 222 dans la même ville. Ses parents étaient originaires, soit de Mabboug, soit d'Erbil ; il reçut son nom comme rappel du fait qu'il était né à Édesse. C'est à Mabboug qu'il aurait suivi une formation religieuse auprès d'un prêtre d'un culte païen appelé Anuduzbar (cette ville possédait un grand sanctuaire de la déesse Atargatis).
Religion minoennethumb|upright=2|Fidèles apportant des offrandes, sarcophage d'Aghia Triada, époque néopalatiale, musée archéologique d'Héraklion. L'expression religion minoenne désigne les cultes pratiqués en Crète par la civilisation minoenne. Ces cultes sont tournés vers la nature, la végétation et leurs rythmes. Cela se remarque particulièrement au travers de dieux et de déesses qui meurent et renaissent chaque année, et par l'utilisation de symboles tels que le taureau (ou les cornes de taureau), le serpent, les colombes.
Roman nationalvignette|Partie du Kyffhäuserdenkmal en Allemagne. Le , ou récit national, est la narration romancée qu'une nation offre de sa propre histoire. Doté d'ajouts d'origine fictive, elle participe à l'identité nationale. Le roman national est le fruit de l'amalgamation d'épisodes historiques plus ou moins héroïques ou légendaires, qui mettent en lumière des valeurs considérées comme essentielles par la nation. Il se construit au fur et à mesure des siècles par la sédimentation d'.
Épopée nationaleUne épopée nationale est une épopée ou une œuvre similaire cherchant à exprimer l'essence ou l'esprit d'une nation particulière. Elle peut concerner un État-nation, mais aussi simplement une ethnie ou un groupe linguistique, parfois avec des aspirations indépendantistes ou autonomistes. Les épopées nationales retracent le plus souvent les origines d'une nation, une part de son histoire ou un événement crucial dans le développement de son identité parmi d'autres symboles nationaux.
Évhémérismethumb|Le Prologue de lEdda de Snorri présente les dieux d'une façon évhémériste. L'évhémérisme est une théorie selon laquelle les dieux seraient des personnages réels, divinisés et sacralisés après leur mort, leur légende étant embellie jusqu'à devenir une sorte de symbolisme absolu et universel. Elle tire son nom du mythographe grec Évhémère. Ce courant de pensée declare que les personnages mythologiques étaient des êtres humains concrets, dont les peuples auraient divinisé le souvenir par admiration ou par crainte.