Common heritage of humanity (also termed the common heritage of mankind, common heritage of humankind or common heritage principle) is a principle of international law that holds the defined territorial areas and elements of humanity's common heritage (cultural and natural) should be held in trust for future generations and be protected from exploitation by individual nation states or corporations.
In tracing the origins of the common heritage principle, it is important to distinguish its history as a term from its conceptual history. The common heritage principle was developed under different names, including common "heritage", common "property", and common "patrimony" of mankind. These terms have at times described different concepts; for instance, in 1813 the "property of mankind" might mean the arts and sciences, rather than items or areas. By the early 20th century, "common heritage" and similar terms usually referred to areas and the resources in them, while other referents had become known under terms like "cultural heritage of all mankind", such as in the preamble to the 1954 Hague Convention for the Protection of Cultural Property in the Event of Armed Conflict.
Conceptually, the common heritage arose in response to the Roman civil law principle of res communis, which described items or areas that anyone could access or use, but none could own. Common heritage instead described areas or items that were owned by humanity as a collective. For example, in his essay Toward Perpetual Peace, Immanuel Kant claimed that the expansion of hospitality with regard to "use of the right to the earth's surface which belongs to the human race in common" would "finally bring the human race ever closer to a cosmopolitan constitution".
The first known use of Common Heritage of Mankind by a state representative in the United Nations, constituting state practice, was at the First UN Conference on the Law of the Sea by Prince Wan Waithayakon of Thailand in 1958.
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Le traité sur l'espace ou traité sur les principes régissant les activités des États en matière d'exploration et d'utilisation de l'espace extra-atmosphérique, y compris la Lune et les autres corps célestes est un traité international ratifié en 1967 relatif à l'exploration et à l'utilisation de l'espace extra-atmosphérique. Ce traité a permis de poser les fondements juridiques de l'exploration de l'espace à une époque où les États-Unis et l'URSS étaient tous deux lancés dans l'exploration de l'espace et la course à la Lune.
Le droit de l'espace, au sens strict, est la branche du droit international qui traite des activités des États dans l'espace dit « extra-atmosphérique ». Bien qu'il n'existe aucune limite entre l'espace aérien et l'espace cosmique (la limite atmosphérique n'étant pas reconnue en droit), les règles du droit de l'espace prévoient un régime spécifique pour les activités d'exploration et d'utilisation de l'espace « extra-atmosphérique ». Au sens large, le droit de l'espace comprend l'ensemble des règles relatives aux activités spatiales, y compris les règles de droit privé.
On désigne par eaux internationales ou par haute mer, ce dernier terme étant le seul employé en droit de la mer, les zones maritimes qui ne sont sous l'autorité d'aucun État (par opposition aux « eaux sous juridiction d'un État côtier »). Plus précisément il s'agit de toutes les parties de la mer qui sont , selon l’article 86 de la convention des Nations unies sur le droit de la mer (CNUDM). vignette|500px|Les eaux internationales qui sont hors de la zone économique d’États apparaissent en bleu foncé.
What are the consequences of the use of the palimpsest metaphor on the construction of the contemporary project? The metaphor casts criticism on the modern project and opens to the long-term (longue durée). The investigation of territorial rationalities br ...