RhomboïdeLe mot « rhomboïde » est issu du latin rhomboides, du grec rhomboeidēs signifiant en forme de toupie, et est attesté dès le pour désigner un muscle d'après sa forme de parallélogramme. Il a en géométrie plusieurs acceptions différentes. Le muscle rhomboïde, le muscle grand rhomboïde et le muscle petit rhomboïde sont des muscles du dos. Euclide introduit le terme dans la définition 33 du livre des Éléments, un rhomboïde est un parallélogramme qui n'est ni un rectangle ni un losange.
PlesiohedronIn geometry, a plesiohedron is a special kind of space-filling polyhedron, defined as the Voronoi cell of a symmetric Delone set. Three-dimensional Euclidean space can be completely filled by copies of any one of these shapes, with no overlaps. The resulting honeycomb will have symmetries that take any copy of the plesiohedron to any other copy. The plesiohedra include such well-known shapes as the cube, hexagonal prism, rhombic dodecahedron, and truncated octahedron. The largest number of faces that a plesiohedron can have is 38.
Réseau de BravaisEn cristallographie, un réseau de Bravais est une distribution régulière de points – appelés nœuds – dans l’espace qui représente la périodicité de la distribution atomique d’un cristal. Les nœuds peuvent être imaginés comme les sommets des mailles, c'est-à-dire des portions de l'espace dans lesquelles la structure cristalline peut être divisée. La structure est alors reconstruite par simple translation de la maille.
Base (géométrie)En géométrie plane, la base désigne : le côté inférieur (supposé horizontal) d’une figure plane (par exemple un triangle, un parallélogramme ou un trapèze). Sa longueur sert à calculer l’aire de cette figure. En géométrie dans l'espace, la base est la face inférieure (supposée horizontale) d’un solide tels qu'un cône ou une pyramide ; les deux bases sont les deux faces opposées d'un solide tels qu'un cylindre ou un prisme. L'aire des bases sert à calculer le volume du solide.
Dehn invariantIn geometry, the Dehn invariant is a value used to determine whether one polyhedron can be cut into pieces and reassembled ("dissected") into another, and whether a polyhedron or its dissections can tile space. It is named after Max Dehn, who used it to solve Hilbert's third problem by proving that not all polyhedra with equal volume could be dissected into each other. Two polyhedra have a dissection into polyhedral pieces that can be reassembled into either one, if and only if their volumes and Dehn invariants are equal.