thumb|350px|Pertes humaines de la Seconde Guerre mondiale par pays.
thumb|alt=Photographie d'une pile de soldats morts dans une foret enneigée|Soldats soviétiques tués à Kholm en janvier 1942. Avec près de 26 millions de morts, l'Union soviétique a payé le tribut humain le plus élevé de la Seconde Guerre mondiale.
La Seconde Guerre mondiale fut le conflit le plus meurtrier de l'Histoire avec plus de 60 millions de morts soit 2,5 % de la population mondiale de l'époque dont la majorité fut des civils. Les tableaux suivants détaillent les pertes de chaque pays.
Globalement, les estimations des historiens varient de 50 millions à 85 millions de morts. Ces valeurs ne prennent pas en considération les morts de carences, privations, de suites de blessures, ou autres maladies consécutives au conflit, après , en Europe, et , en Asie.
Les statistiques des pertes de la Seconde Guerre mondiale varient, avec des estimations allant de 50 millions à plus de 70 millions de morts ce qui en fait le conflit le plus meurtrier de l'histoire de l'humanité, mais pas en termes de décès par rapport à la population mondiale.
Les civils ont totalisé de morts, dont de maladie ou de famine du fait de la guerre. Les pertes militaires s'évaluent entre , dont 5 millions de prisonniers de guerre morts en captivité.
Les statistiques ne donnent pas le chiffre du nombre des morts après (et après pour l'Europe), sans doute élevé : un grand nombre de soldats grièvement blessés décédèrent, ainsi qu'un grand nombre de déportés rescapés, qui moururent des conséquences de mauvais traitements, de privations diverses, etc. Du fait du manque de services médicaux et hospitaliers, souvent dégradés, la mortalité était plus importante qu'avant 1939. Après 1945, la famine était très visible en certaines zones de l'URSS, dans les Balkans, et même dans l'Europe occidentale, sans oublier l'Asie. Aussi, il ne faut pas négliger les conséquences psychologiques, très importantes, avec un grand nombre de personnes traumatisées, souvent pour plusieurs générations.