Horloge hydrauliquevignette|Horloge hydraulique de Ctésibios () , d'après Claude Perrault ((). Une horloge hydraulique est une horloge d'un ancien type, qui permet d'indiquer l'heure à partir de l'écoulement, à travers un petit orifice, d'un liquide contenu dans un récipient. Dès l'origine, dans l'Antiquité, le liquide employé est l'eau, d'où quelquefois l'appellation « horloge à eau ». Plus tard on a pu trouver des horloges à mercure, notamment dans les écrits arabes ou chinois, mais le fait est anecdotique semble-t-il.
ClockmakerA clockmaker is an artisan who makes and/or repairs clocks. Since almost all clocks are now factory-made, most modern clockmakers only repair clocks. Modern clockmakers may be employed by jewellers, antique shops, and places devoted strictly to repairing clocks and watches. Clockmakers must be able to read blueprints and instructions for numerous types of clocks and time pieces that vary from antique clocks to modern time pieces in order to fix and make clocks or watches.
FoliotUn foliot est un balancier vertical utilisé dans les premières horloges au . Son principe : un poids suspendu à une corde fournit de l'énergie à la machine tandis qu'un système de verge et de foliot interrompt régulièrement la chute du poids. La position des masses placées sur chaque extrémité du foliot permet de régler le rythme du va-et-vient : la fréquence devient harmonique sous le phénomène du « moment d'inertie » (pendule de torsion, énergie cinétique), comme le fait le pendule d'une horloge à balancier.
Quartz (électronique)En électronique, un quartz est un composant électronique qui possède comme propriété utile d'osciller à une fréquence stable lorsqu'il est stimulé électriquement. Les propriétés piézoélectriques remarquables du minéral de quartz permettent d'obtenir des fréquences d'oscillation très précises, qui en font un élément important en électronique numérique ainsi qu'en électronique analogique. Les propriétés piézoélectriques du quartz qui sont à la base de son emploi en électronique sont découvertes par les frères Pierre et Jacques Curie en 1880 : le cristal leur sert d'abord de détecteur des très faibles impulsions électriques.