En mathématiques, une équation du second degré, ou équation quadratique, est une équation polynomiale de degré 2, c'est-à-dire qu'elle peut s'écrire sous la forme :
Dans cette équation, x est l'inconnue les lettres a, b et c représentent les coefficients, avec a différent de 0. a est le coefficient quadratique, b est le coefficient linéaire, et c est un terme constant où le polynome est défini sur .
Dans l'ensemble des nombres réels, une telle équation admet au maximum deux solutions, qui correspondent aux abscisses des éventuels points d'intersection de la parabole d'équation avec l'axe des abscisses dans le plan muni d'un repère cartésien. La position de cette parabole par rapport à l'axe des abscisses, et donc le nombre de solutions (0, 1 ou 2) est donnée par le signe du discriminant. Ce dernier permet également d'exprimer facilement les solutions, qui sont aussi les racines de la fonction du second degré associée.
Sur le corps des nombres complexes, une équation du second degré a toujours exactement deux racines distinctes ou une racine double. Dans l'algèbre des quaternions, une équation du second degré peut avoir une infinité de solutions.
Les équations du second degré sont au centre de l'algèbre babylonienne, dès avant le . La tablette d'argile BM 13901 a été qualifiée de .
Au , le mathématicien indien indique la manière de calculer les deux racines réelles.
Les équations du second degré ont été étudiées systématiquement par Al-Khwarizmi au , dans un ouvrage intitulé Abrégé du calcul par la restauration et la comparaison qui, via le mot « restauration » (en arabe : al-jabr) a donné son nom à l'algèbre. Al-Khawarizmi distingue six cas d'équations du premier ou second degré dans lesquels les paramètres a, b et c sont tous positifs :
Les carrés égalent les racines : ax = bx
Les carrés égalent les nombres : ax = c
Les racines égalent les nombres : bx = c
Les carrés et les racines égalent les nombres : ax + bx = c
Les carrés et les nombres égalent les racines : ax + c = bx
Les racines et les nombres égalent les carrés : ax = bx + c
Il démontre les méthodes de résolution en suivant des raisonnements d'algèbre géométrique.
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L'algèbre (de l’arabe الجبر, al-jabr) est une branche des mathématiques qui permet d'exprimer les propriétés des opérations et le traitement des équations et aboutit à l'étude des structures algébriques. Selon l’époque et le niveau d’études considérés, elle peut être décrite comme : une arithmétique généralisée, étendant à différents objets ou grandeurs les opérations usuelles sur les nombres ; la théorie des équations et des polynômes ; depuis le début du , l’étude des structures algébriques (on parle d'algèbre générale ou abstraite).
En mathématiques, une équation du second degré, ou équation quadratique, est une équation polynomiale de degré 2, c'est-à-dire qu'elle peut s'écrire sous la forme : Dans cette équation, x est l'inconnue les lettres a, b et c représentent les coefficients, avec a différent de 0. a est le coefficient quadratique, b est le coefficient linéaire, et c est un terme constant où le polynome est défini sur .
Lodovico Ferrari ( 1522 - 1565) est un mathématicien italien du . Né à Bologne, Lodovico Ferrari est l'élève et le collaborateur de Jérôme Cardan. Il est extrêmement brillant et Cardan commence à lui enseigner les mathématiques. Il est célèbre pour avoir résolu l'équation du quatrième degré en la ramenant à une équation du troisième degré (voir « Méthode de Ferrari »). Ferrari prend sa retraite relativement jeune (43 ans) et assez riche. Il retourne dans sa ville natale pour tenir un poste de professeur de mathématiques en 1565.
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