Modèle relationnelLe modèle relationnel est une manière de modéliser les relations existantes entre plusieurs informations, et de les ordonner entre elles. Cette modélisation qui repose sur des principes mathématiques mis en avant par E.F. Codd est souvent retranscrite physiquement (« implémentée ») dans une base de données. On appelle « relation » un ensemble d'attributs qui caractérisent une proposition ou une combinaison de propositions comme "un employé a un matricule, il a un nom, il a un employeur".
Relation (database)In database theory, a relation, as originally defined by E. F. Codd, is a set of tuples (d1, d2, ..., dn), where each element dj is a member of Dj, a data domain. Codd's original definition notwithstanding, and contrary to the usual definition in mathematics, there is no ordering to the elements of the tuples of a relation. Instead, each element is termed an attribute value. An attribute is a name paired with a domain (nowadays more commonly referred to as a type or data type).
Clé (structure de données)En génie logiciel, la clé d'un objet est souvent un petit fragment de données, qui permet soit d'identifier un objet, soit de comparer entre eux des objets du même type. Les tableaux triés, les piles, les s, les tas, les ABO, etc., sont des structures qui rangent les données uniquement en fonction de leur clé. La clé est donc la plupart du temps une valeur numérique, ou bien une chaîne de caractères. Elle peut faire partie de l'objet (comme un champ dans une structure de données), ou bien simplement être calculable à partir de l'objet (comme une valeur de hachage).
Forme normale (bases de données relationnelles)Dans une base de données relationnelle, une forme normale désigne un type de relation particulier entre les entités. La normalisation consiste à restructurer une base de données pour respecter certaines formes normales, afin d'éviter la redondance des données (des données apparaissent plusieurs fois) et d'assurer l'intégrité des données. Le but essentiel de la normalisation est d’éviter les anomalies transactionnelles pouvant découler d’une mauvaise modélisation des données et ainsi éviter un certain nombre de problèmes potentiels tels que les anomalies de lecture, les anomalies d’écriture, la redondance des données et la contre-performance.
Base de données relationnellethumb|upright=1.2|Structure générale d'une base de données relationnelle. En informatique, une base de données relationnelle (en anglais: relational database management system (RDBMS)) est une base de données où l'information est organisée dans des tableaux à deux dimensions appelés des relations ou tables, selon le modèle introduit par Edgar F. Codd en 1960. Selon ce modèle relationnel, une base de données consiste en une ou plusieurs relations. Les lignes de ces relations sont appelées des nuplets ou enregistrements.
Clé artificielleDans le domaine des bases de données, une clé artificielle (en opposition à une clé naturelle), aussi parfois appelée clé de remplacement (de l'anglais surrogate key) désigne un ensemble de données adjointes aux données d'une table pour les indexer. La génération de la clé artificielle est effectuée par le concepteur de la table. Toute clé indexant chaque ligne de manière unique est valable. Parmi les méthodes de génération courantes de clé artificielle nous pouvons citer les clés incrémentales (les lignes sont numérotées au fur et à mesure de leur introduction dans la table).