Fuselagevignette|Fuselage d'un Boeing 737 (en marron). Le fuselage est la carcasse en forme de fuseau constituant le corps d'un avion ou d'un planeur et dont la forme facilite la pénétration dans l'air. Il est, avec la voilure, l'empennage et le train d'atterrissage, un constituant de la cellule d'un aérodyne. Il est aménagé pour contenir la charge utile transportée, ainsi que le poste d'équipage. Le fuselage est le point d'attache de la voilure et de l'empennage ainsi que, fréquemment, le train d'atterrissage.
Poste de pilotagethumb|Poste de pilotage d'un Lockheed C-130 Hercules, en vol. Un poste de pilotage, cabine de pilotage ou cockpit désigne l'espace réservé au pilote, son copilote et, parfois, au mécanicien de bord dans un avion (ou d’un simulateur). Il contient toutes les commandes et les instruments nécessaires au pilotage de l'appareil. Le poste de pilotage d'un avion est également désigné par le terme anglais cockpit. Le terme cockpit est apparu en anglais dans les années 1580, désignant « un espace (pit) pour les combats de coqs (cocks) » : cock + pit.
Hydroptèrevignette|alt=photo d'un hydroptère à passagers|Le Voshkod-63, hydroptère à passagers de 1988. Un hydroptère (du préfixe hydro- (du grec ὓδωρ, eau), et du suffixe -ptère (du grec πτερόν, aile)) ou hydrofoil (reprise du mot anglais), est un type de bateau dont la coque s’élève et se maintient en équilibre hors de l’eau à partir d'une certaine vitesse grâce à la portance d'un ensemble d'ailes immergées ou foils, qui fonctionnent selon le même principe qu’une aile d'avion.
Marine nationale (France)La Marine nationale est la marine de guerre de la République française. C'est une des composantes des Forces armées, avec l'Armée de terre, l'Armée de l'air et de l'espace, la Gendarmerie nationale et les services de soutien interarmées. En 2021, sa flotte de surface compte de plus de (dont 50 de plus de ), hors navires affrétés et unités portuaires (remorqueurs, chalands, etc.). Elle se compose de de combat et de de soutien.
Biplanthumb|Le Wright Flyer, premier aéronef motorisé de l'histoire, en 1903. Un biplan est un avion pourvu de deux ailes portantes superposées. Cette configuration permet d'augmenter la surface alaire pour une envergure donnée. La triangulation par câbles et par mâts soulage les ailes, mais a l'inconvénient d'augmenter la traînée, à cause des mâts et des haubans rigidifiant l'ensemble, mais aussi à cause d'une aérodynamique moins favorable, comme le doublement des tourbillons marginaux.
Aéroplanevignette|Exemple d'un aéroplane Un aéroplane est un aérodyne à voilure fixe. Cette notion regroupe : les avions, motorisés ; les planeurs. Le premier projet français d'aéroplane est établi en 1853 par Michel Antoine Loup mais le mot n'est inventé qu'en 1855 par Joseph Pline pour désigner l'ancêtre de l'avion au , par opposition aux aérostats ; le terme avion l'a supplanté peu avant la guerre de 1914. Clément Ader fut le premier homme dans l’Histoire de l'aviation à avoir fait décoller un aéroplane par la seule force de son moteur (source site EADS).
Avion de patrouille maritimeL'avion de patrouille maritime est destiné à explorer les étendues maritimes pour rechercher, surveiller bâtiments de surface et sous-marins, guider d'autres unités de combat vers un objectif et éventuellement le détruire lui-même. Une de ses caractéristiques principales est son autonomie : il est capable de rester en vol jusqu'à quinze heures. Il rejoint généralement sa zone de patrouille à grande vitesse et à haute altitude. En patrouille, il peut voler à quelques mètres au-dessus de l'eau à faible vitesse.
Avion de reconnaissanceLes avions de reconnaissance ou de surveillance sont des avions militaires, conçus pour contrôler l'espace aérien et maritime, identifier des objectifs potentiels en territoire ennemi, et plus généralement obtenir des renseignements sur les mouvements d'une force armée. Ce sont également des avions civils utilisés par les services de surveillance météorologique et destinés à l'observation des phénomènes naturels tels que les ouragans par exemple. Dès 1794, la France utilisait des ballons pour le réglage des tirs d'artillerie.