L'expression couleurs du Web désigne un jeu de couleurs appelées par un mot-clé dans les langages de description de page HyperText Markup Language (HTML) et Cascading Style Sheet (CSS).
Les auteurs de pages web peuvent spécifier numériquement les couleurs des éléments qui composent un document web de plusieurs manières : par un code agglutinant les valeurs hexadécimales RGB ; par un triplet donnant ces valeurs en décimal de 0 à 255 ou par un pourcentage ; par des références Teinte Saturation Luminosité. Pour simplifier le codage, les auteurs peuvent appeler les couleurs d'une palette de 216 couleurs réparties dans l'espace de couleur des écrans par un mot-clé basé sur une désignation en anglais.
L'économie de moyens graphiques est à l'origine du nombre de couleurs. Les ordinateurs personnels contemporains de la définition des couleurs du web avaient une capacité de traitement suffisamment limitée pour qu'on prèfère traiter des index de palette sur un octet. Les noms de couleur associés sont plus explicites que des codes. Ils reflètent l'usage américain quand la décision des premiers auteurs coïncide avec celui-ci. Ce sont des mots-clé, que les programmes de localisation des ordinateurs ne traduisent pas.
Les premières versions de Mosaic et du navigateur Netscape utilisaient les noms des couleurs X11 comme base pour leur liste de couleurs, puisque les deux logiciels ont commencé comme applications X Window System.
La colorimétrie des couleurs sur l'écran dépend de sa fabrication et de son réglage, mais les couleurs du web devraient, dans tous les cas, donner des nuances distinctes les unes des autres.
Codage informatique des couleurs
Les écrans produisent des couleurs par un système de synthèse additive au moyen de trois types de luminophores rouges, verts et bleus suffisamment petits pour qu'ils se confondent à la distance normale d'observation. L'intensité du courant électrique qui les traverse déterminent leur luminosité. La vision humaine peut distinguer, pour chaque couleur, une centaine de niveaux de luminosité.
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En infographie, une palette de couleurs est un ensemble fini de couleurs stocké servant à l'affichage d'. Voici les utilisations les plus courantes de l'expression « palette de couleurs » en informatique : l'ensemble des couleurs qu'un système est capable de générer ou de gérer (selon les limitations de mémoire vidéo, il est possible qu'il ne puisse pas les afficher toutes en même temps) : par exemple, on dit des systèmes d'affichage de type Highcolor qu'ils ont une palette RVB 16 bits, c'est-à-dire qu'ils sont potentiellement capables d'afficher couleurs différentes (en tout) ; la sélection de couleurs qui peut être affichée simultanément : soit sur l'écran entier : soit à l'aide d'une palette fixe : un terminal d'affichage donné peut offrir un choix de couleurs prédéterminés, en sélectionnant une palette parmi celles établies à l'avance par le constructeur.
L'expression couleurs du Web désigne un jeu de couleurs appelées par un mot-clé dans les langages de description de page HyperText Markup Language (HTML) et Cascading Style Sheet (CSS). Les auteurs de pages web peuvent spécifier numériquement les couleurs des éléments qui composent un document web de plusieurs manières : par un code agglutinant les valeurs hexadécimales RGB ; par un triplet donnant ces valeurs en décimal de 0 à 255 ou par un pourcentage ; par des références Teinte Saturation Luminosité.
La diffusion d'erreur est une technique d'amélioration du rendu des images infographiques en cas de diminution du nombre de codes de couleurs. Elle se combine à l'anticrénelage. Elle sert dans les systèmes informatiques capables d'afficher seulement un petit nombre de couleurs, et dans les imprimantes, pour lesquelles les pixels n'ont que deux valeurs, avec du toner ou sans. Elle consiste à répartir sur les pixels voisins les erreurs de quantification issues de l'assimilation de la couleur d'un pixel à une couleur prise dans une gamme réduite.
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