Heike monogatarivignette vignette|Une des illustrations du livre. est une chronique poétique (ou, si l'on veut, une épopée en prose, à l'exception des huit premières lignes qui constituent un court poème préliminaire, le « Gion Shôja ») qui raconte la lutte entre les clans Minamoto et Taira au pour le contrôle du Japon, et dont le point culminant est la bataille de Dan-no-ura en 1185.
Sōheivignette|upright|Le sōhei Benkei et Minamoto no Yoshitsune. Les étaient une classe de moines-guerriers bouddhistes du Japon médiéval. À certaines époques de l'Histoire, ils avaient un pouvoir considérable qui obligeait les daimyō à collaborer avec eux, ou occuper la capitale lorsque l'empereur prenait des décisions qui leur déplaisaient. L’appellation sōhei ne date que de la période d’Edo. Auparavant, ils étaient appelés « guerrier-moines », ou « moines féroces ».
GénéralissimeLa dignité de généralissime (en latin generalissimus), superlatif de général, est un grade et un titre militaire ; c'est un grade de général des armées, chef suprême des armées d'un État ou d'une coalition et des autres généraux en temps de guerre. En France, le grade de généralissime date du roi Charles IX qui le conféra au duc d'Anjou ; Richelieu le porta. Le grade fut supprimé par la loi en 1790 ; une décision ministérielle a fait revivre le titre en 1823.
Kiyomizu-deraLe temple Kiyomizu ou fait référence à un complexe de temples bouddhistes et shintoïstes mais est principalement utilisé pour un seul : l' à l'est de Kyoto, qui est l'un des endroits les plus célèbres de la ville. Il a été enregistré au patrimoine mondial culturel de l'UNESCO en 1994. Le Kiyomizu-dera trouve ses origines en 778, vers la fin de l'époque Nara ; selon la tradition, il aurait été construit par Sakanoue no Tamuramaro. Le bâtiment principal et l'Oku-no-in datent de 1633 ; ils ont été reconstruits par Tokugawa Iemitsu.
Jidai-gekivignette|La Porte de l'enfer. Le est un genre théâtral, cinématographique et télévisuel japonais. Ce genre audiovisuel, créé à la fois pour se démarquer du cinéma occidental et des drames traditionnels tournés pour le grand écran, emprunte certes ses thématiques aux drames traditionnels japonais, mais contrairement à eux les rôles féminins sont joués par des actrices (et non par des hommes). Du cinéma occidental il retient aussi une certaine forme de naturalisme et fait la part belle aux dialogues.
Navires noirsvignette|240px|Représentation japonaise de 1854 des « navires noirs » de Matthew Perry.|alt=Dessin de 1854. La moitié haute contient des inscriptions en japonais tandis que la moitié basse représente une flotte dans une baie sur la partie gauche et un bateau à vapeur sur la partie droite. Les sont le nom donné par les Japonais aux navires de commerce européens apparus dès le tels les caraques (nau), mais aussi spécifiquement aux bateaux à vapeur des États-Unis du .