En programmation informatique, le test unitaire (ou « T.U. », ou « U.T. » en anglais) est une procédure permettant de vérifier le bon fonctionnement d'une partie précise d'un logiciel ou d'une portion d'un programme (appelée « unité » ou « module »). Dans les applications non critiques, l'écriture des tests unitaires a longtemps été considérée comme une tâche secondaire. Cependant, les méthodes Extreme programming (XP) ou Test Driven Development (TDD) ont remis les tests unitaires, appelés « tests du programmeur », au centre de l'activité de programmation.
La documentation logicielle est un texte, généralement accompagné de captures d'écran, qui concerne un logiciel informatique. Elle explique comment le logiciel fonctionne, et/ou comment on doit l'employer. Le terme peut avoir des significations différentes pour des personnes de différents profils. La documentation constitue une partie importante de l'ingénierie logicielle, qui est souvent négligée. La documentation peut être de plusieurs types : L'expression de besoin - Définit le besoin du métier lors d'une demande.
Un test de validation est un type de test informatique qui permet de vérifier si toutes les exigences client, décrites dans le document de spécification du logiciel, sont respectées. Les tests de validation se décomposent généralement en plusieurs phases : Validation fonctionnelle : les tests fonctionnels assurent que les différents modules ou composants implémentent correctement les exigences client. Ces tests peuvent être de type valide, invalide, inopportuns, etc.
En génie logiciel, la couverture de code est une mesure utilisée pour décrire le taux de code source exécuté d'un programme quand une suite de test est lancée. Un programme avec une haute couverture de code, mesurée en pourcentage, a davantage de code exécuté durant les tests ce qui laisse à penser qu'il a moins de chance de contenir de bugs logiciels non détectés, comparativement à un programme avec une faible couverture de code.
vignette|Daily stand-up, rituel quotidien des méthodes agiles. En ingénierie logicielle, les mettent en avant la collaboration entre des équipes auto-organisées et pluridisciplinaires et leurs clients. Elles s'appuient sur l'utilisation d'un cadre méthodologique léger mais suffisant centré sur l'humain et la communication. Elles préconisent une planification adaptative, un développement évolutif, une livraison précoce et une amélioration continue, et elles encouragent des réponses flexibles au changement.
vignette|upright=1|Le Mac triste : écran indiquant un code erreur sur les premières versions du MacIntosh d'Apple. En informatique, un bug (prononcé en français : ) ou bogue est un défaut de conception d'un programme informatique à l'origine d'un dysfonctionnement. La gravité du dysfonctionnement peut aller de bénigne, causant par exemple des défauts d'affichage mineurs à majeure, tels un plantage du système pouvant entraîner de graves accidents, par exemple la destruction en vol de la première fusée Ariane 5, en 1996.
L’extreme programming (ou XP), en français « la programmation extrême », est une méthode agile de génie logiciel privilégiant l'aspect réalisation d'une application, sans pour autant négliger l'aspect gestion de projet. Elle pousse à l'extrême des principes simples, d'où son nom. La programmation poussée à l'extrême est adaptée aux équipes réduites ayant des besoins changeants. La programmation extrême a été inventée par Kent Beck, Ward Cunningham et Ron Jeffries pendant leur travail sur un projet « C3 » de calcul des rémunérations chez Chrysler.
Le génie logiciel, l'ingénierie logicielle ou l'ingénierie du logiciel (en software engineering) est une science de génie industriel qui étudie les méthodes de travail et les bonnes pratiques des ingénieurs qui développent des logiciels. Le génie logiciel s'intéresse en particulier aux procédures systématiques qui permettent d'arriver à ce que des logiciels de grande taille correspondent aux attentes du client, soient fiables, aient un coût d'entretien réduit et de bonnes performances tout en respectant les délais et les coûts de construction.
L'automatisation de test permet de jouer à volonté des tests de régression à la suite de la livraison d'une nouvelle version d'une application. L'automatisation d'un test n'a de sens que si le test répond à un certain nombre de critères : le test est systématique : il doit être exécuté à chaque nouvelle version de l'application. le test est répétitif : il est présent dans de nombreux scénarios de test. le test est automatisable : il est possible techniquement de faire jouer le test par un robot.
En informatique et en particulier en génie logiciel, la qualité logicielle est une appréciation globale d'un logiciel, basée sur de nombreux indicateurs. La complétude des fonctionnalités, la correction et précision des résultats, la fiabilité, la tolérance de pannes, la facilité et la flexibilité de son utilisation, la simplicité, l'extensibilité, la compatibilité et la portabilité, la facilité de correction et de transformation, la performance, la cohérence et l'intégrité des informations qu'il contient sont tous des facteurs de qualité.