1 22 polytopeDISPLAYTITLE:1 22 polytope In 6-dimensional geometry, the 122 polytope is a uniform polytope, constructed from the E6 group. It was first published in E. L. Elte's 1912 listing of semiregular polytopes, named as V72 (for its 72 vertices). Its Coxeter symbol is 122, describing its bifurcating Coxeter-Dynkin diagram, with a single ring on the end of the 1-node sequence. There are two rectifications of the 122, constructed by positions points on the elements of 122. The rectified 122 is constructed by points at the mid-edges of the 122.
G2 (mathématiques)En mathématiques, G2 est le plus petit des groupes de Lie complexes de type exceptionnel. Son algèbre de Lie est notée . G2 est de rang 2 et de dimension 14. Sa forme compacte est simplement connexe, et sa forme déployée a un groupe fondamental d'ordre 2. Son groupe d'automorphismes est le groupe trivial. Sa représentation fondamentale est de dimension 7. La forme compacte de G2 peut être décrite comme le groupe d'automorphismes de l'algèbre octonionique. (1,−1,0),(−1,1,0) (1,0,−1),(−1,0,1) (0,1,−1),(0,−1,
Algèbre d'AlbertEn mathématiques, une algèbre d'Albert est une algèbre de Jordan exceptionnelle de dimension 27. Elle porte le nom d'A. Adrian Albert, pionnier de l'étude des algèbres non associatives, qui travaillait le plus souvent sur le corps des nombres réels. Sur les nombres réels, il existe trois telles algèbres de Jordan à isomorphisme près. L'une d'elles, mentionnée pour la première fois par Pascual Jordan, John von Neumann et Eugene Wigner et étudiée par A.
Dynkin diagramIn the mathematical field of Lie theory, a Dynkin diagram, named for Eugene Dynkin, is a type of graph with some edges doubled or tripled (drawn as a double or triple line). Dynkin diagrams arise in the classification of semisimple Lie algebras over algebraically closed fields, in the classification of Weyl groups and other finite reflection groups, and in other contexts. Various properties of the Dynkin diagram (such as whether it contains multiple edges, or its symmetries) correspond to important features of the associated Lie algebra.
Représentation fondamentaleIn representation theory of Lie groups and Lie algebras, a fundamental representation is an irreducible finite-dimensional representation of a semisimple Lie group or Lie algebra whose highest weight is a fundamental weight. For example, the defining module of a classical Lie group is a fundamental representation. Any finite-dimensional irreducible representation of a semisimple Lie group or Lie algebra can be constructed from the fundamental representations by a procedure due to Élie Cartan.
Formule des caractères de WeylEn théorie des représentations, la formule des caractères de Weyl est une description des caractères des représentations irréductibles des groupes de Lie compacts en fonction de leurs plus haut poids. Elle a été prouvée par Hermann Weyl. Il existe une formule étroitement liée pour le caractère d'une représentation irréductible d'une algèbre de Lie semi-simple. Dans l'approche de Weyl de la théorie des représentations des groupes de Lie compacts connexes, la preuve de la formule des caractères est une étape clé pour prouver que chaque élément entier dominant apparaît effectivement comme le plus haut poids d'une représentation irréductible.
Cartan subalgebraIn mathematics, a Cartan subalgebra, often abbreviated as CSA, is a nilpotent subalgebra of a Lie algebra that is self-normalising (if for all , then ). They were introduced by Élie Cartan in his doctoral thesis. It controls the representation theory of a semi-simple Lie algebra over a field of characteristic . In a finite-dimensional semisimple Lie algebra over an algebraically closed field of characteristic zero (e.g., ), a Cartan subalgebra is the same thing as a maximal abelian subalgebra consisting of elements x such that the adjoint endomorphism is semisimple (i.
Algèbre de JordanEn algèbre générale, une algèbre de Jordan est une algèbre sur un corps commutatif, dans laquelle l'opération de multiplication interne, a deux propriétés : elle est commutative, c’est-à-dire que elle vérifie l'identité suivante, dite identité de Jordan : . Une algèbre de Jordan n'est donc pas associative en général ; elle vérifie toutefois une propriété d’associativité faible, car elle est à puissances associatives et satisfait d’office à une généralisation de l'identité de Jordan : en notant simplement le produit de m termes , on a, pour tous les entiers positifs m et n, .