Clavier d'ordinateurUn clavier d’ordinateur est une interface homme-machine munie de touches permettant à l'utilisateur d'entrer dans l'ordinateur une séquence de données, notamment textuelle. Les touches sont généralement des boutons en plastique reliés chacun à un interrupteur électronique. D'un point de vue électronique, elles sont similaires aux boutons d’une souris, d’une télécommande ou d’une manette de console de jeu, mais d'un point de vue pratique, elles ont des qualités propres à leur fonction : un symbole, une lettre, un chiffre, un mot ou une sont habituellement imprimées ou gravées sur la touche, autrement appelée Keycap, afin de permettre à l'utilisateur de saisir les caractères, pour écrire du texte ou pour exécuter une fonction particulière.
Disposition des touches d'un clavier de saisieLa disposition des touches d'un clavier de saisie permet de saisir les caractères de l'alphabet d'une langue sur une machine à écrire, un clavier d'ordinateur et sur certains appareils électroniques plus récents (téléphone portable, assistant personnel). La plupart des pays utilisent une ou plusieurs dispositions adaptées. Les dispositions de touches sont l'héritage des machines à écrire. Elles ont été adaptées aux claviers d'ordinateurs puis à d'autres périphériques.
Touche de verrouillage des majusculesLa touche de verrouillage des majuscules souvent notée Caps Lock, ou Verr Maj sur les claviers français, est une touche modificatrice dont le comportement est similaire à maintenir la touche active sur les claviers d’ordinateur et les machines à écrire. Elle est située au-dessus de la touche gauche sur la plupart des claviers. Elle est symbolisée d’une flèche vers le haut dont la queue est coupée, ou d’un cadenas, parfois accolé d’un A majuscule encadré.
QWERTYthumb|300px|Distribution géographique des différents claviers en Europe : Le QWERTY est une disposition des touches de clavier brevetée en 1878 par Christopher Latham Sholes, qui a mis au point un prototype de la machine à écrire moderne. thumb|400px|Disposition QWERTY aux États-Unis. La disposition tire son nom des six premières touches de la rangée alphabétique supérieure.
TildeLe tilde (, ou ) est un signe diacritique des alphabets latin et cyrillique en forme de « S » inversé et couché utilisé dans de nombreuses langues. Il sert aussi, quand il possède une chasse, de signe de ponctuation permettant de séparer des éléments en opposition (en phonologie, par exemple : /s/ ~ /z/ → « le phonème /s/ s’oppose au phonème /z/ »). Le terme « tilde » provient du latin « titulus » (« titre »), inscription portant un nom ou une fonction sous un tableau, un écriteau au cou d'un esclave.
Machine à écrireUne machine à écrire est une machine mécanographique permettant de produire des documents avec des caractères imprimés. Elle se présente sous la forme d'un clavier comportant une cinquantaine de touches représentant les caractères qui seront imprimés sur le papier. Elle peut être portative et légère (pour travailler en voyageant), ou de bureau (plus lourde, mais moins fragile). Elle a été utilisée de la fin du (notamment par les dactylographes, ou « dactylos ») jusqu'à l'apparition, au , des machines à mémoire électronique, qui préfigurent le déclin et le remplacement de la machine par l'ordinateur à la fin du .
ÆÆ, minuscule æ, est une voyelle et un graphème utilisé dans plusieurs langues européennes, dont notamment certaines langues nordiques comme le danois, le féroïen, l’islandais, le norvégien, le français et autrefois le latin ou l’anglo-saxon, mais aussi dans plusieurs langues camerounaises, comme le kenswei nsei, le kom ou le tikar, et quelques langues des Amériques, comme le hupda, le kawésqar ou le yagan. C’est un graphème appelé en français a-e entrelacé, a e-dans-le-a ou « a e-dans-l’a », par simplification, « e-dans-l’a ».
Alphabet arabeLalphabet arabe est un abjad, c'est-à-dire un système d'écriture ne notant que les consonnes (à peu de chose près). Il comporte initialement vingt-huit lettres et s'écrit horizontalement de droite à gauche. Les diverses langues qu'il sert à noter ont donné lieu à de nombreuses adaptations de l'alphabet arabe à leur système phonologique. L'écriture arabe courante ne note pas les voyelles, qui peuvent cependant apparaître sous forme de diacritiques dans certains textes à caractère didactique (Coran, apprentissage de la lecture, dictionnaires).
Z (lettre)Le Z est une lettre de l’alphabet latin. Elle est la et dernière lettre de l’alphabet français ainsi que sa consonne. Z vient du zêta, de l'alphabet grec (Ζ en capitale et ζ en minuscule). Présent dans les premiers modèles de l'alphabet latin, descendant directement de l'alphabet étrusque, le Z, inutile aux Romains, a été supprimé au : le son qu'il représentait s'étant transformé en "r", n'existait plus. Il fut remplacé par G puis réintroduit au par les Romains qui en eurent à nouveau l'utilité pour noter des mots empruntés au grec ancien.
E (lettre)E est la cinquième lettre des alphabets latin et étrusque, ainsi que leur deuxième voyelle. Il s'agit également de l'écriture capitale de l'epsilon de l'alphabet grec ainsi que du Ye de l'alphabet cyrillique. thumb|290px|Évolution du tracé de la lettre centré|vignette|600x600px|Formes majuscules et minuscules manuscrites de la lettre E dans le Dictionnaire des abréviations latines et française d’Alphonse Chassant. La lettre E peut être munie de diacritiques dans l'écriture d'un certain nombre de langues utilisant l'alphabet latin : È/è : accent grave (français, italien.