SuperkeyIn the relational data model a superkey is a set of attributes that uniquely identifies each tuple of a relation. Because superkey values are unique, tuples with the same superkey value must also have the same non-key attribute values. That is, non-key attributes are functionally dependent on the superkey. The set of all attributes is always a superkey (the trivial superkey). Tuples in a relation are by definition unique, with duplicates removed after each operation, so the set of all attributes is always uniquely valued for every tuple.
Clé étrangèreUne clé étrangère, dans une base de données relationnelle, est une contrainte qui garantit l'intégrité référentielle entre deux tables. Une clé étrangère identifie une colonne ou un ensemble de colonnes d'une table comme référençant une colonne ou un ensemble de colonnes d'une autre table (la table référencée). Les colonnes de la table référencée doivent faire partie d'une contrainte de clé primaire ou d'une contrainte d'unicité.
Composite keyIn database design, a composite key is a candidate key that consists of two or more attributes (table columns) that together uniquely identify an entity occurrence (table row). A compound key is a composite key for which each attribute that makes up the key is a foreign key in its own right. Composite keys have advantages similar to that of a natural key as it is often composed of multiple natural key attributes.
Clé primaireDans une base de données relationnelle, une clé primaire est la donnée qui permet d'identifier de manière unique un enregistrement dans une table. Une clé primaire peut être composée d'une ou de plusieurs colonnes de la table. Deux lignes distinctes de la table ne peuvent pas avoir les mêmes valeurs dans les colonnes définies comme clé primaire. Il est possible de définir pour une même table plusieurs contraintes d'unicité, mais au plus une seule clé primaire. Une clé primaire est choisie parmi les clés candidates.
Modèle relationnelLe modèle relationnel est une manière de modéliser les relations existantes entre plusieurs informations, et de les ordonner entre elles. Cette modélisation qui repose sur des principes mathématiques mis en avant par E.F. Codd est souvent retranscrite physiquement (« implémentée ») dans une base de données. On appelle « relation » un ensemble d'attributs qui caractérisent une proposition ou une combinaison de propositions comme "un employé a un matricule, il a un nom, il a un employeur".
Clé artificielleDans le domaine des bases de données, une clé artificielle (en opposition à une clé naturelle), aussi parfois appelée clé de remplacement (de l'anglais surrogate key) désigne un ensemble de données adjointes aux données d'une table pour les indexer. La génération de la clé artificielle est effectuée par le concepteur de la table. Toute clé indexant chaque ligne de manière unique est valable. Parmi les méthodes de génération courantes de clé artificielle nous pouvons citer les clés incrémentales (les lignes sont numérotées au fur et à mesure de leur introduction dans la table).
Forme normale (bases de données relationnelles)Dans une base de données relationnelle, une forme normale désigne un type de relation particulier entre les entités. La normalisation consiste à restructurer une base de données pour respecter certaines formes normales, afin d'éviter la redondance des données (des données apparaissent plusieurs fois) et d'assurer l'intégrité des données. Le but essentiel de la normalisation est d’éviter les anomalies transactionnelles pouvant découler d’une mauvaise modélisation des données et ainsi éviter un certain nombre de problèmes potentiels tels que les anomalies de lecture, les anomalies d’écriture, la redondance des données et la contre-performance.
Base de données relationnellethumb|upright=1.2|Structure générale d'une base de données relationnelle. En informatique, une base de données relationnelle (en anglais: relational database management system (RDBMS)) est une base de données où l'information est organisée dans des tableaux à deux dimensions appelés des relations ou tables, selon le modèle introduit par Edgar F. Codd en 1960. Selon ce modèle relationnel, une base de données consiste en une ou plusieurs relations. Les lignes de ces relations sont appelées des nuplets ou enregistrements.