Droperidol /droʊˈpɛrIdɔːl/ (Inapsine, Droleptan, Dridol, Xomolix, Innovar [combination with fentanyl]) is an antidopaminergic drug used as an antiemetic (that is, to prevent or treat nausea) and as an antipsychotic. Droperidol is also often used as a rapid sedative in intensive-care treatment, and where "agitation aggression or violent behavior" are present.
Discovered at Janssen Pharmaceutica in 1961, droperidol is a butyrophenone which acts as a potent D2 (dopamine receptor) antagonist with some histamine and serotonin antagonist activity.
It has a central antiemetic action and effectively prevents postoperative nausea and vomiting in adults using doses as low as 0.625 mg.
For treatment of nausea and vomiting, droperidol and ondansetron are equally effective; droperidol is more effective than metoclopramide. It has also been used as an antipsychotic in doses ranging from 5 to 10 mg given as an intramuscular injection, generally in cases of severe agitation in a psychotic patient who is refusing oral medication. Its use in intramuscular sedation has been replaced by intramuscular preparations of haloperidol and olanzapine. Some practitioners recommend the use of 0.5 mg to 1 mg intravenously for the treatment of vertigo in an otherwise healthy elderly patients who have not responded to Epley maneuvers.
In 2001, the FDA changed the labeling requirements for droperidol injection to include a Black Box Warning, citing concerns of QT prolongation and torsades de pointes. The evidence for this is disputed, with 9 reported cases of torsades in 30 years and all of those having received doses in excess of 5 mg. QT prolongation is a dose-related effect, and it appears that droperidol is not a significant risk in low doses.
A study in 2015 showed that droperidol is relatively safe and effective for the management of violent and aggressive
adult patients in hospital emergency departments in doses of 10mg and above and that there was no increased risk of QT prolongation and torsades de pointes.
Cette page est générée automatiquement et peut contenir des informations qui ne sont pas correctes, complètes, à jour ou pertinentes par rapport à votre recherche. Il en va de même pour toutes les autres pages de ce site. Veillez à vérifier les informations auprès des sources officielles de l'EPFL.
Les syndromes extrapyramidaux regroupent plusieurs entités, les syndromes parkinsoniens (dont la maladie de Parkinson) et certains types de mouvements involontaires d'origine neurologique. Le syndrome parkinsonien est un syndrome extrapyramidal qui associe trois signes : un tremblement de repos lent et régulier des extrémités, majoré lorsque l'on détourne l'attention ; une hypertonie, ou rigidité, décrite comme « plastique » (par opposition à la spasticité du syndrome pyramidal), cédant par à-coups : intérêt de la manœuvre de Froment ; une hypokinésie (akinésie, bradykinésie, oligokinésie), c'est-à-dire des mouvements rares et lents.
Le syndrome malin des neuroleptiques (SMN) est un syndrome rare faisant le plus souvent suite à la prise d'un traitement de neuroleptique. Non traité à temps, le syndrome peut causer des séquelles neurologiques permanentes et aboutit au décès du patient entre 5 % et 22 % des cas. Le syndrome malin des neuroleptiques survient généralement une à deux semaines après le début du traitement et se caractérise par une rigidité musculaire, une hyperthermie, une perturbation du système nerveux autonome, une altération de l'état mental.
Lhalopéridol (R1625) est une butyrophénone et un médicament antipsychotique typique de la classe des neuroleptiques. Ce médicament est utilisé pour le contrôle des symptômes des psychoses aigües, de la schizophrénie aigüe, des phases maniaques chez les bipolaires (maniaco-dépressifs), de l'hyperactivité et pour contrôler l'agressivité, l'agitation extrême et les pensées psychotiques, qui peuvent être induites par l'usage détourné de substances psychotropes telles que les amphétamines, le LSD ou la PCP.
Benzamides or thioxanthenes were tested as potential antagonists of the cyclic AMP accumulation induced by 10(-4) M dopamine in intact rabbit retinae in vitro in the presence of 5 to 7 mM theophylline. The neuroleptic sulpiride (10(-4) M) was found to be t ...