La guerre non conventionnelle (unconventional warfare) signifie, au sens large, des « opérations militaires et quasi-militaires qui ne correspondent pas à la guerre conventionnelle » et peut recouvrir des armées secrètes, la subversion ou des tactiques de guérilla. Le recours à ces méthodes vise typiquement à éviter une escalade vers la guerre conventionnelle ainsi qu'à se soustraire aux conventions internationales.
Outre la définition ci-dessus, la guerre non conventionnelle est aussi décrite ainsi :
La guerre non conventionnelle vise la population civile sur le plan psychologique et s'efforce d'en ; les attaques contre les institutions militaires et politiques ne visent qu'à cette fin, pour que l'efficacité militaire de l'adversaire soit neutralisée. Des tactiques de guerre conventionnelle limitées peuvent servir dans un cadre non conventionnel pour offrir une démonstration de puissance, et non pour réduire les capacités militaires de l'adversaire. Outre l'emploi très limité d'armes traditionnelles, le belligérant s'appuie sur des méthodes particulières contre l'armée : frappe aérienne, arme nucléaire, engins incendiaires, etc.
Des membres des forces spéciales, infiltrées très profondément en terrain ennemi, sont utilisées à des fins non conventionnelles pour entraîner, équiper et conseiller les habitants locaux qui s'opposent à leur propre gouvernement. Ces membres peuvent aussi semer subversion et propagande, tout en aidant les résistants locaux, afin de nourrir l'hostilité contre le gouvernement et l'obliger à capituler. Les tactiques déployées sont la destruction de cibles militaires tout en préservant les infrastructures civiles et le blocus des approvisionnements militaires pour saper le moral des soldats gouvernementaux.
Le Département de la Défense des États-Unis décrit la guerre non conventionnelle comme les activités menées pour qu'un mouvement de résistance ou d'insurrection parvienne à contraindre, à déstabiliser ou à renverser un gouvernement ou une puissance occupante en s'appuyant sur des soldats clandestins, auxiliaires et partisans dans des zones interdites.
Cette page est générée automatiquement et peut contenir des informations qui ne sont pas correctes, complètes, à jour ou pertinentes par rapport à votre recherche. Il en va de même pour toutes les autres pages de ce site. Veillez à vérifier les informations auprès des sources officielles de l'EPFL.
Le nom de partisan peut être donné à une personne pratiquant la guérilla. La guerre de partisans a son origine en 1809 (Espagne) et 1812 (Russie) et a été théorisée dès 1821 par le général de l'armée russe Denis Davydov dans un livre qui a eu un grand retentissement, l'Essai sur la guerre de partisans. Au , le mot a été notamment utilisé pour désigner les organisations paramilitaires de résistants qui s'opposèrent aux régimes fascistes et aux forces militaires de l'Allemagne nazie en Europe au cours de la Seconde Guerre mondiale.
A low-intensity conflict (LIC) is a military conflict, usually localised, between two or more state or non-state groups which is below the intensity of conventional war. It involves the state's use of military forces applied selectively and with restraint to enforce compliance with its policies or objectives. The term can be used to describe conflicts where at least one or both of the opposing parties operate along such lines.
La guerre de génération est un concept forgé par William S. Lind avec le colonel Keith Nightengale (US Army), le capitaine John F. Schmitt (USMC), le colonel Joseph W. Sutton (US Army) et le lieutenant-colonel Gary I. Wilson (USMCR). Il a théorisé le concept de guerre de génération dans un article de 1989 dans la intitulé (Le visage changeant de la guerre : À l'intérieur de la génération).
Precision mechanics: the buvette (pump room) of Évian-les-Bains is not just an architecture of great formal elegance, but above all an extraordinary technological object, a machine carefully calibrated, in equilibrium. Architectural criticism has largely d ...