Georges-Louis Leclerc de Buffon

Georges-Louis Leclerc, comte de Buffon, plus connu sous le nom simple de Buffon, (-) est un naturaliste, mathématicien, biologiste, cosmologiste, philosophe et écrivain français. À la fois académicien des sciences et académicien français, il participe à l'esprit des Lumières. Ses théories ont influencé deux générations de naturalistes, en particulier Jean-Baptiste de Lamarck et Charles Darwin. Salué par ses contemporains pour son maître ouvrage Histoire naturelle, Buffon a été qualifié de « Pline de Montbard ». Il est le fils de Benjamin Leclerc, seigneur de Buffon et de La Mairie, conseiller du roi, président du grenier à sel de Montbard, conseiller au parlement de Bourgogne, et de dame Anne-Christine Marlin. Ils sont mariés depuis un an lorsque Georges-Louis vient au monde. Il est prénommé Georges en l'honneur de son parrain et grand-oncle maternel Georges-Louis Blaisot, seigneur de Saint-Étienne et Marigny (mort en 1714), collecteur des impôts du duc de Savoie, et Louis en l'honneur de son grand-père, Louis Leclerc, écuyer, conseiller secrétaire du Roi, maire de Montbard et juge prévôt. Son bisaïeul était médecin et bailli de Grignon, son trisaïeul barbier chirurgien. La famille habite près de la porte de la Boucherie qui commande l'une des portes de Montbard, sur la route de Châtillon et de Dijon. La famille s'agrandit ; naissent ainsi Jean-Marc en 1708, Jeanne en 1710, Anne-Madeleine en 1711 et Claude-Benjamin en 1712. Son père, en 1717, bénéficiant de la fortune accumulée par Georges-Louis Blaisot et héritée par sa femme et son fils, achète les propriétés de la seigneurie de Buffon, située à six kilomètres de Montbard, à Jean Bouhier, président du parlement de Bourgogne et lettré notoire. Benjamin Leclerc acquiert également une charge de commissaire général des maréchaussées qu'il revend trois ans plus tard pour une charge de conseiller au parlement de Dijon. La famille déménage alors à Dijon, à l'hôtel Quentin, acheté également la même année. Il fait ses humanités au collège des jésuites des Godrans de Dijon, où il a pour condisciple Charles de Brosses.

Un lieu et un lien des hauteurs parisiennes: la butte qui fait sienne sa voie métropolitaine.

A l’Est de Paris, à cheval entre la ville historique et les communes voisines, le plateau de Romainville domine la métropole. Il porte en lui les stigmates de l’anthropocène: l’ère où l’action humaine est la principale force qui transforme la terre. En effet, des millions d’années après sa formation, cette butte-témoin a brutalement changé : On a creusé d’immenses carrières pour extraire le gypse, On a sculpté des forts sur ses sommets, Des autoroutes l’ont entaillée. Mais la butte a en quelque sorte tiré parti de ces blessures pour se doter de lieux singuliers, telles les carrières qui forment aujourd’hui une couronne de parcs en hauteur et mettent en scène le relief excavé. Dans ce système, l’autoroute A3 qui traverse la butte d’Est en Ouest, est une fracture infranchissable qui exclut les riverains. Pourtant, par sa topographie et son implantation, elle offre l’opportunité d’inventer une architecture à même de valoriser ce territoire et son histoire. Compte tenu du développement des transports en commun et de la métropole, je pose l’hypothèse d’une transformation de l’autoroute en voie métropolitaine, plus lente, plus accessible, plus partagée. Le projet imagine une voie nouvelle, vecteur d’intégration, un lien. Une voie poreuse qui réintègre dans la ville les endroits aujourd’hui délaissés de la butte, créant un quelque part, un lieu nouveau, autre. Des volumes qui symbolisent le vécu du plateau transformé émergent des talus rendus accessibles par des rampes et des escaliers.

2022

Pont en bois de Schüpbach

De nos jours, le réseau routier suisse est équipé d’un vaste ensemble de ponts permettant d’assurer sa qualité de service et de desserte. Cependant, comme le mentionne l’OFROU dans son rapport sur l’état du réseau des routes nationales 2016 [20], l’âge moyen des ponts sur les routes nationales dépasserait les 40 ans. D’un point de vue économique, il est plus intéressant d’investir dans l’entretien de ces ponts que dans leur remplacement. En misant ainsi sur une stratégie d’entretien régulière, on s’assure un niveau d’état élevé des installations et un prolongement significatif de leur durée d’utilisation pour un coût d’intervention raisonnable. Il est également intéressant, d’un point de vue historico-culturelle, d’assurer la conservation d’ouvrages témoins d’un développement technique propre à une époque culturelle. Certains ouvrages sont même des représentants emblématiques du patrimoine d’une région comme pourrait le montrer le pont de la Chapelle, emblème de la ville de Lucerne. C’est dans l’optique de répondre à ces deux problématiques que vient s’inscrire l’essence de l’examen et du projet d’intervention du pont arc en bois de Schüpbach datant du 19ème siècle. Au cours de ce travail, nous tenterons donc de prouver la nécessité de conservation de ce pont, en passant de cette manière par une présentation du pont et de son histoire, une vérification de son état structurel et enfin par le choix d’une variante d’intervention optimale selon plusieurs critères rigoureusement définis.

2021

Georges-Louis Leclerc de Buffon

S’intégrer dans un tissu urbain ancien: un atelier textile d’insertion pour les Audoniens

Un lieu et un lien des hauteurs parisiennes: la butte qui fait sienne sa voie métropolitaine.

Pont en bois de Schüpbach

Un lieu et un lien des hauteurs parisiennes: la butte qui fait sienne sa voie métropolitaine.

S’intégrer dans un tissu urbain ancien: un atelier textile d’insertion pour les Audoniens

Pont en bois de Schüpbach