Electronic civil disobedience (ECD; also known as cyber civil disobedience or cyber disobedience) can refer to any type of civil disobedience in which the participants use information technology to carry out their actions. Electronic civil disobedience often involves computers and the Internet and may also be known as hacktivism. The term "electronic civil disobedience" was coined in the critical writings of Critical Art Ensemble (CAE), a collective of tactical media artists and practitioners, in their seminal 1996 text, Electronic Civil Disobedience: And Other Unpopular Ideas. Electronic civil disobedience seeks to continue the practices of nonviolent-yet-disruptive protest originally pioneered by American poet Henry David Thoreau, who in 1848 published Civil Disobedience.
A common form of ECD is coordination DDoS against a specific target, also known as a virtual sit-in. Such virtual sit-ins may be announced on the internet by hacktivist groups like the Electronic Disturbance Theatre and the borderlands Hacklab.
Computerized activism exists at the intersections of politico-social movements and computer-mediated communication. Stefan Wray writes about ECD:
"As hackers become politicized and as activists become computerized, we are going to see an increase in the number of cyber-activists who engage in what will become more widely known as Electronic Civil Disobedience. The same principals of traditional civil disobedience, like trespass and blockage, will still be applied, but more and more these acts will take place in electronic or digital form. The primary site for Electronic Civil Disobedience will be in cyberspace.
Jeff Shantz and Jordon Tomblin write that ECD or cyber disobedience merges activism with organization and movement building through online participatory engagement:Cyber disobedience emphasizes direct action, rather than protest, appeals to authority, or simply registering dissent, which directly impedes the capacities of economic and political elites to plan, pursue, or carry out activities that would harm non-elites or restrict the freedoms of people in non-elite communities.
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L'accès à l'information est une extension de la liberté d'expression qui recouvre notamment la liberté de la presse. L’information est l’ensemble de données dans les domaines techniques, scientifiques, économiques, institutionnels, culturels et historiques pouvant être sous forme d’images, de textes, de discours et de sons. L’accès à l’information a pour objectif de garantir à un public le plus large possible, la mise à disposition de tout événement, tout fait, tout jugement et tout document par tous moyens telle la télévision, la radio, la presse et Internet sachant que ce dernier diffuse les informations plus rapidement et à niveau mondial.
thumb|right|Une action directe non-violente de Greenpeace contre Esso en 2003. Une action directe, dans les domaines politiques et sociaux, est le mouvement d'un individu ou d'un groupe qui agit par lui-même, afin de peser directement sur un rapport de force pour changer une situation et ceci, sans déléguer le pouvoir à un intermédiaire (« représentant », professionnel de la politique, bureaucrate, etc.). Principalement rattachée à la mouvance anarchiste dont elle est issue, l'action directe peut être pacifique ou non.
Le hacktivisme (mot-valise, contraction de hacker et activisme), aussi appelé cyberactivisme au Québec, est une forme de militantisme utilisant des compétences du piratage informatique dans le but de favoriser des changements politiques ou sociétaux. Le terme vient de l'anglais et fut créé en 1994 par un membre du groupe de hackers Cult of the Dead Cow. Le mot hacktivisme est parfois ambigu sur le type d'activités qu'il comprend, certaines définitions y incluent les actes de cyberterrorisme tandis que d'autres n'y placent que la critique politique et sociale par le biais d'actes de piratage informatique.