La propreté est l'absence de souillure , incluant poussière, tache, et mauvaises odeurs.
Elle implique des procédés de nettoyage, notamment dans le domaine de l'hygiène alimentaire (). On peut parler de propreté pour un organisme vivant (homme, animal de compagnie) ou pour un lieu, une pièce.
Dans les périodes plus récentes, avec la théorie des maladies transmises par les germes, il signifie aussi une absence de virus et bactéries pathogènes. Les experts recommandent dans la mesure du possible d'intégrer le risque sanitaire, et le nettoyage dès la conception des locaux, notamment de l'agroalimentaire.
Dans tous ces domaines d'activité l'hygiène est de plus en plus responsable. On parle alors de Nettoyage écologique dans l'hygiène durable.
Les degrés de propreté sont très différents selon les activités, puisque cela peut aller jusqu'à la propreté atomique des surfaces dans les processus industriels.
On peut distinguer :
propreté physique (élimination des salissures) ;
propreté chimique (élimination des résidus de détergent) ;
propreté biologique (élimination des micro-organismes).
La propreté permet d'obtenir des propriétés particulières de certains matériaux, par exemple pour obtenir la transparence des vitres ou la propreté de miroirs, prismes, lentilles dans le domaine de l'optique.
Selon l'origine des salissures à éliminer, il y a différentes manières de nettoyer :
salissures non adhérentes : dépoussiérage (soit avec un balayage à sec, balayage humide, ou à l'aide d'un essuyage écologique par aspiration)
salissures adhérentes :
soit manuel: utilisation d'une serpillière, d'un balai humide, d'une brosse, d'une éponge, de paille de fer...
soit mécanisé: utilisation d'une autolaveuse ou d'une machine-balai (une ou plusieurs brosses) ou d'un nettoyeur à vapeur.
avec eau froide ou chaude, avec ou sans détergent...
biofilms, matériaux contaminés par des microbes ou virus ; Désinfection : .
La directive 98/8/CE (« directive biocides ») a été transposée en droit français par les articles L.