vignette|upright=1|Octave juste do-do.
En musique, une octave est l'intervalle le plus consonant. Elle sert de base à la construction des gammes. En acoustique, cet intervalle correspond au doublement de sa fréquence fondamentale.
En solfège, son renversement est l'unisson. En électroacoustique, elle sert d'unité logarithmique de rapport de fréquences.
La notion d'octave appartient principalement au domaine musical.
Le principe de l'identité des octaves était connu de l'Antiquité. Aristote écrit :
L’antiphone [l'octave] est produit par (les voix) des enfants et celles des jeunes gens et des hommes, lesquelles diffèrent d’intonation dans le même rapport que celui de la nète [la plus aiguë] à l’hypate [la plus grave]. Toute consonance est plus agréable qu’un son simple, pour quelles raisons, on l’a dit plus haut, et parmi ces consonances, l’octave est la plus agréable.
Boèce répète ce principe vers 600, puis Hucbald de Saint-Amand vers 900, Francisco de Salinas en 1577, Jean-Philippe Rameau en 1722 et nombre d'autres. Pour autant, il ne s'agit pas d'un phénomène universellement reconnu. , écrit Curt Sachs.
Le statut particulier de l'octave dans l'audition a été étudié et confirmé par des études psychoacoustiques. Il est possible qu'il s'agisse d'un biais culturel ; mais il pourrait aussi avoir une base physiologique.
Du point de vue de la production du son musical, si une corde ou une colonne d'air dans un tuyau vibre dans son mode normal à une fréquence de , une corde ou colonne de la moitié de sa longueur sonnera à l'octave supérieure (doublement des vibrations, f multiplié par deux). Diviser encore par deux la longueur aboutit à deux octaves (quart de la longueur, f multiplié par quatre), diviser encore par deux donne le huitième de la longueur et trois octaves.
À l'opposé, pour descendre d'une octave la longueur doit être multipliée par deux, pour deux octaves par quatre, et pour trois octaves, par huit.
Voir également les longueurs des tuyaux d'orgue.
Cette page est générée automatiquement et peut contenir des informations qui ne sont pas correctes, complètes, à jour ou pertinentes par rapport à votre recherche. Il en va de même pour toutes les autres pages de ce site. Veillez à vérifier les informations auprès des sources officielles de l'EPFL.
En musique, l'intervalle entre deux notes est l'écart entre leurs hauteurs respectives. Cet intervalle est dit harmonique si les deux notes sont simultanées, mélodique si les deux notes sont émises successivement. En acoustique, l'intervalle entre deux sons harmoniques est le rapport de leurs fréquences. Chaque intervalle d'une échelle musicale, elle-même distinctive d'un type de musique (indienne, occidentale, musique orientale, etc.). La perception des intervalles diffère selon les cultures.
En musique, la hauteur est l'une des caractéristiques essentielles d'un son ou note, les autres étant la durée, l'intensité, le timbre et l'expression. En musique occidentale, on désigne la hauteur par le nom d'une note sur une échelle ou gamme. La hauteur relative d'une note dans la gamme s'appelle degré. Le solfège écrit vers le haut de la portée les notes aiguës, et inversement, vers le bas, les graves.
vignette|Une croche la. En musique, une note est un symbole ou une lettre permettant de représenter un fragment de musique par une convention d'écriture de la hauteur et de la durée d'un son. Le symbole visuel d'une note de musique sur une partition est constitué : d'une « tête » qui indique la hauteur du son (sa fréquence en hertz), d'une « hampe » qui soutient les crochets et les barres de durée, d'une « durée », matérialisée par un ou des crochets ou par une ou plusieurs barres horizontales ou inclinées, qui indique sa longueur ou durée temporelle.
Interactions between the auditory and the motor systems are critical in music as well as in other domains, such as speech. The premotor cortex, specifically the dorsal premotor cortex (dPMC), seems to play a key role in auditory-motor integration, and in m ...
Public Library Science2016
, ,
The switching kinetics in ferroelectric thin films has been intensively studied during the past decade. It is widely accepted that this kinetics is basically governed by the dynamics of domain coalescence (the Kolmogorov-Avrami-Ishibashi model). This concl ...
This paper reports on a study analysing the spatial distribution functions, the correlation structures, and the power spectral densities of high-resolution LIDAR snow depths (∼1 m) in two adjacent 500 m × 500 m areas in the Colorado Rocky Mountains, one a ...