La théorie juridique internationale comprend une variété d'approches théoriques et méthodologiques utilisés pour expliquer et analyser le contenu, la formation et l'efficacité du droit international public et de ses institutions, de critiquer et de suggérer des améliorations. Certaines approches sont centrées sur la question du respect : pourquoi les États suivent les normes internationales en l'absence d'un pouvoir coercitif qui assure le respect. D'autres approches se concentrent sur le problème de la formation des règles internationales : pourquoi les États adoptent volontairement des normes juridiques internationales, qui limitent leur liberté d'action, en l'absence d’un pouvoir législatif central dans la « société internationale ». D'autres perspectives sont focalisées sur les questions politiques, elles élaborent des cadres théoriques et des instruments afin de critiquer les règles existantes et faire des suggestions sur la façon de les améliorer. Certaines de ces approches sont basées sur la théorie juridique interne, d'autres sont interdisciplinaires, tandis que d'autres ont été mises au point expressément pour analyser la structure du droit international.
Plusieurs options sont disponibles aux fins d’une présentation des écoles doctrinales du droit international : Chronologique, critique ou encore thématique. C’est cette dernière qui a été choisi dans cet article, en d’autres termes il s’agit simplement de mettre en exergue les éléments sur lesquels chaque courant doctrinal s’est particulièrement penché et l’objet d’étude sur lequel il s’est focalisé.
Les premiers théoriciens du droit international ont fait reposer l’obligation internationale sur le droit naturel. Celui-ci étant un ensemble de normes éparpillé dans la nature par le pouvoir divin et dont seule la raison peut en déceler l’existence. C’est sur les bases de ce droit qu’au Francisco de Vitoria, professeur de théologie à l'université de Salamanque, a examiné les questions de la guerre juste, la présence des Espagnols dans les Amériques, et les droits des peuples amérindiens.
Cette page est générée automatiquement et peut contenir des informations qui ne sont pas correctes, complètes, à jour ou pertinentes par rapport à votre recherche. Il en va de même pour toutes les autres pages de ce site. Veillez à vérifier les informations auprès des sources officielles de l'EPFL.
This course will provide students with a basic knowledge of law. After an introduction to the law, aspects of tax law, environmental law, contract law, data protection or IP law will be offered, as we
Legal realism is a naturalistic approach to law; it is the view that jurisprudence should emulate the methods of natural science, that is, it should rely on empirical evidence. Hypotheses must be tested against observations of the world. Legal realists believe that legal science should only investigate law with the value-free methods of natural sciences, rather than through philosophical inquiries into the nature and meaning of the law that are separate and distinct from the law as it is actually practiced.
Liberal institutionalism (or institutional liberalism or neoliberalism) is a theory of international relations that holds that international cooperation between states is feasible and sustainable, and that such cooperation can reduce conflict and competition. Neoliberalism is a revised version of liberalism. Alongside neorealism, liberal institutionalism is one of the two most influential contemporary approaches to international relations.
La théorie du droit désigne l'étude et l'analyse des concepts et principes fondamentaux du droit et des lois. Discipline située à l'intersection entre philosophie, études juridiques et sciences politiques, elle est désignée, en anglais, sous le nom de « jurisprudence» ou de « legal theory ». Parmi les principaux courants de la théorie du droit, on peut citer le positivisme juridique, dont Hans Kelsen (1881-1973) a fourni les titres de noblesse, le droit naturel (Ronald Dworkin), le réalisme (le juge Oliver Holmes aux États-Unis ou Axel Hägerström en Suède), qui se rapproche parfois de la sociologie du droit, en mettant l'accent sur les pratiques effectives des acteurs juridiques.