Aqua est le nom donné par Apple à l'interface graphique de son système d'exploitation Mac OS X. Aqua se caractérise principalement par l'utilisation de la transparence des fenêtres et des menus, l'anticrénelage du texte et des images, la réaction aux actions de l'utilisateur par des animations ainsi que des boutons « gélules » en forme de bulle. Ces boutons n'étant plus au goût du jour, ils ont été remplacés par des boutons flat design depuis OS X 10.10. Mac OS X 10.0 « Cheetah » Mac OS X 10.1 « Puma » Mac OS X 10.2 « Jaguar » Mac OS X 10.3 « Panther » Mac OS X 10.4 « Tiger » Mac OS X 10.5 « Leopard » Mac OS X 10.6 « Snow Leopard » Mac OS X 10.7 « Lion » OS X 10.8 « Mountain Lion » OS X 10.9 « Mavericks » OS X 10.10 « Yosemite » OS X 10.11 « El Capitan » macOS 10.12 « Sierra » macOS 10.13 « High Sierra » macOS 10.14 « Mojave » macOS 10.15 « Catalina » macOS 11.0 « Big Sur » macOS 12.0 « Monterey » macOS 13.0 « Ventura » C'est le qu'Apple dévoile Aqua. L'interface graphique du futur macOS s'inscrit dans la même logique que le nouveau design des Macintosh de l'époque, avec dans les deux cas l'abandon des couleurs ternes au profit de couleurs vives. Le , Apple introduit quelques-uns des concepts de l'interface graphique du futur Mac OS X dans la seconde version de son logiciel iMovie, pourtant destiné à Mac OS 9. Parmi les modifications implémentées dans cette nouvelle version, on trouve les « boutons gélules », les et la texture de métal brossé, entre autres. L'entreprise lance iTunes en , avant d'adopter définitivement Aqua avec la commercialisation de la première version de Mac OS X le . Apple a mis à jour l'interface graphique de Mac OS X à plusieurs reprises : Le , Apple annonce que Mac OS X 10.2 a été l'occasion de découvrir Quartz Extreme qui, grâce à une accélération matérielle par la carte graphique, permet une réactivité de l'interface plus importante et l'ajout de nouvelles animations plus complexes ; Le a lieu la démonstration par Apple d'Exposé, nouvelle fonctionnalité pour Mac OS X 10.
Jean-François Molinari, Tobias Brink