Optimum climatique de l'HolocèneLoptimum climatique de l'Holocène est une période interglaciaire qui dura d'environ AP, avec néanmoins l'intermède de l'événement climatique de AP. L'optimum varie dans le temps selon les zones, commençant à certains endroits dès AP et ne se terminant, en d'autres, que vers AP. La période est nommée aussi « Hypsithermal » ou « Altithermal ». La chronozone associée est nommée « Atlantique ». En 2021, la réalité de cet optimum climatique est remise en question par de nouvelles recherches.
Geologic recordThe geologic record in stratigraphy, paleontology and other natural sciences refers to the entirety of the layers of rock strata. That is, deposits laid down by volcanism or by deposition of sediment derived from weathering detritus (clays, sands etc.). This includes all its fossil content and the information it yields about the history of the Earth: its past climate, geography, geology and the evolution of life on its surface. According to the law of superposition, sedimentary and volcanic rock layers are deposited on top of each other.
Oscillation nord-atlantiqueL’oscillation nord-atlantique (ONA, plus connue sous le sigle anglais NAO) désigne un phénomène touchant le système climatique du nord de l'océan Atlantique. L'ONA décrit les variations du régime océan-atmosphère sur la région et se mesure généralement comme la différence de pression atmosphérique entre l'anticyclone des Açores et la dépression d'Islande. Elle est notamment corrélée à l’oscillation arctique. L’ONA a été découverte durant les par Sir Gilbert Walker, qui avait découvert précédemment l’oscillation australe dans l'océan Pacifique et à laquelle est relié le phénomène El Niño.
Effondrement écologiqueL'effondrement écologique, ou « collapsus écologique », est un scénario de crise écologique majeure caractérisé par un effondrement brutal des écosystèmes, soit localement, à l'échelle d'une mer fermée, d'un fleuve, d'un lac, etc., soit à l'échelle de la biosphère, c'est-à-dire de la planète tout entière, et dépassant alors éventuellement les capacités de résilience écologique de la biosphère (à court, moyen ou long terme). Dans ce dernier scénario, la capacité de la biosphère à s'auto-entretenir est détruite pour un temps plus ou moins long, voire définitivement.