Skopje 2014Skopje 2014 est une vaste campagne d'aménagement et de construction qui doit donner un nouveau visage au centre de Skopje, capitale de la Macédoine du Nord. La ville, détruite par un tremblement de terre en 1963, présente en effet un urbanisme moderniste dépourvu de monuments historiques et d'édifices prestigieux, habituels dans le paysage des autres capitales européennes. L'opération prévoit notamment la reconstruction de monuments emblématiques disparus lors du séisme ainsi que la création de musées, de monuments commémoratifs, etc.
Débat autour du nom de la Macédoinethumb|300px|Région de la Macédoine historique : Le nom de la Macédoine et sa revendication par deux peuples différents, les Grecs et les Macédoniens slaves, sont à l'origine d'un débat identitaire dans cette région des Balkans depuis la fin du . L'actuelle Macédoine du Nord a en effet acquis le nom de « Macédoine » lors de la création de la république socialiste de Macédoine, un des États constitutifs de la république fédérative socialiste de Yougoslavie, ce que la Grèce n'a jamais contesté tant qu'il ne s'agissait pas d'un État souverain et que la dénomination de « Macédoine » était seulement géographique : pour la Grèce, il s'agissait alors simplement de la « Macédoine septentrionale » (en grec el, Vória Makedonía).
Macedonian nationalismMacedonian nationalism (македонски национализам, makɛdonski nat͡sionalizam) is a general grouping of nationalist ideas and concepts among ethnic Macedonians that were first formed in the late 19th century among separatists seeking the autonomy of the region of Macedonia from the Ottoman Empire. The idea evolved during the early 20th century alongside the first expressions of ethnic nationalism among the Slavs of Macedonia. The separate Macedonian nation gained recognition after World War II when the "Socialist Republic of Macedonia" was created as part of Yugoslavia.
Soleil de VerginaLe soleil de Vergina ou étoile de Vergina est un symbole découvert à Aigai (actuelle Vergina) en 1977 par l'archéologue grec Manólis Andrónikos dans une tombe royale macédonienne attribuée à Philippe II. Il s'agit d'une étoile ou d'un soleil stylisé, composé d'un rond entouré de seize rayons. On a trouvé une variante à douze rayons sur une autre urne funéraire, attribuée à la reine Olympias.