« Microclimat » désigne généralement des conditions climatiques limitées à une région géographique très petite, significativement distinctes du climat général de la zone où se situe cette région.
Les biogéographes parlent aussi de « bioclimat » pour désigner les climats particuliers qui peuvent s'étendre sur des surfaces assez importantes sous l'influence de la structure écopaysagère (marais, forêts...).
alt=L'image contient de le port de plaisance du village vendéen de Jard sur Mer, avec le soleil couchant en fond.|vignette|Le petit village de Jard-sur-Mer est souvent cité comme un exemple typique de microclimat permettant de profiter d'un environnement subtropicale propre aux régions les plus au sud de la Méditerranée, bien que situé en Vendée.
Les architectes et urbanistes connaissent depuis l'antiquité la tempérance que peut apporter la présence de l'eau, d'un jardin ou d'un courant d'air dans un jardin, une cour, un quartier ou une ville.
Mais on pressent que le climat peut aussi être modifié à des échelles plus vastes, locales et régionales par la végétation (ou inversement par sa destruction).
C'est notamment le cas pour le couvert forestier à propos duquel Antoine Becquerel dans un mémoire de mai 1865 parle d'« influence climatérique ». Il y fait un lien direct entre risque de catastrophe climatique ou de catastrophe naturelle et défrichements anciens ou récents. Trois ans plus tôt, en 1853 Becquerel avait publié un ouvrage de 366 pages sur « l'influence qu'exercent les sols boisés » produisant des hypothèse qu'il affinera en 1860 sur la .
Au , on constatera que les milieux urbains offrent aussi des microclimats plus chauds, mais souvent trop secs et pollués. Les écoquartiers essayent de reconstituer, grâce au végétal des microclimats de meilleure qualité.
Depuis l'Antiquité, divers auteurs ont pensé que la forêt et l'eau jouaient un rôle climatique local important.
Concernant la forêt, dans un ouvrage de 1865 Antoine César Becquerel cherche et apporte des réponses aux questions suivantes :
Il préjuge que .
Cette page est générée automatiquement et peut contenir des informations qui ne sont pas correctes, complètes, à jour ou pertinentes par rapport à votre recherche. Il en va de même pour toutes les autres pages de ce site. Veillez à vérifier les informations auprès des sources officielles de l'EPFL.
Explore la relation entre l'architecture moderne et la science du climat, en mettant l'accent sur l'optimisation de l'environnement bâti pour les conditions climatiques.
Le climat méditerranéen, selon la classification de Köppen (Csa et Csb), est un climat tempéré (également appelé « tempéré chaud » ou « subtropical de façade ouest », selon les considérations), qui se caractérise par des étés chauds et secs et des hivers doux et humides. Le terme de « méditerranéen » s'explique par sa présence caractéristique autour de la mer Méditerranée, mais d'autres régions du monde possèdent les mêmes conditions climatiques.
Une zone de rusticité est une zone géographique dans laquelle une catégorie spécifique de plante est capable de vivre, c’est-à-dire de supporter les températures minimales hivernales de cette zone. Le système le plus communément utilisé est appelé système USDA, mais n'est pas le seul. Ces zones ont été initialement créées par le département de l'Agriculture du gouvernement des États-Unis (USDA) et ont ensuite été adoptées dans de nombreux pays. Elles ont été établies à partir des moyennes de la température minimale sur plusieurs années (Cathey, 1990).
La gelée blanche (ou simplement gelée) est un dépôt de glace qui provient de la vapeur d'eau contenue dans l'air par passage direct de la phase gazeuse à la phase solide (processus thermodynamique de condensation solide), le plus souvent par rayonnement nocturne, au point de givrage. Elle ne met pas en jeu de surfusion de l'eau, au contraire du givre, terme que l'on emploie indistinctement dans la vie pratique. Il est possible, mais rare, que la gelée blanche soit obtenue par advection ou évaporation.
Long-term changes in precipitation and temperature indirectly impact aquifers through groundwater recharge (GWR). Although estimates of future GWR are needed for water resource management, they are uncertain in cold and humid climates due to the wide range ...
2022
, ,
Excessive heat in cities exacerbated by urban heat islands can negatively impact human health, building energy consumption, and urban ecosystems. Increasing urban greenery has often been proposed as an attractive mitigation strategy as vegetation can reduc ...
2023
,
The urban heat island effect (UHI) has been widely observed globally, causing climate, health, and energy impacts in cities. The UHI intensities have been found to largely depend on background climate and the properties of the urban fabric. Yet, a complete ...