Shituf(שִׁתּוּף; also transliterated as or ; literally "association") is a term used in Jewish sources for the worship of God in a manner which Judaism does not deem to be purely monotheistic. The term connotes a theology that is not outright polytheistic, but also should not be seen as purely monotheistic. The term is primarily used in reference to the Christian Trinity by Jewish legal authorities who wish to distinguish Christianity from full-blown polytheism.
Nahmanidethumb|Le Ramban, peinture murale à Acre (Israël)Moïse Nahmanide (en משה בן נחמן גירונדי Moshe ben Nahman Gerondi, acronyme : רמב"ן Ramban, en Bonastruc ça Porta, en ) est un rabbin du (Gérone, 1194 - Acre, 1270). Figure importante du judaïsme, il est contraint de devenir vers la fin de sa vie le représentant des Juifs lors de la disputation de Barcelone. Ses propos ayant été jugés blasphématoires envers le christianisme, il émigre en 1267 en Palestine où s'affrontent alors Croisés et Mamelouks.
Purgatoirevignette|redresse=1.2|Le purgatoire dans Les Très Riches Heures du duc de Berry, enluminure du . Dans le catholicisme, le purgatoire est une étape de purification par laquelle les âmes des défunts morts en état de grâce doivent cependant expier les péchés dont ils n'ont pas fait une pénitence suffisante avant leurs derniers instants. Ceux qui meurent dans l’amitié de Dieu, mais imparfaitement purifiés, c'est-à-dire avec des résistances à l'amour de Dieu, bien qu’assurés de leur salut éternel, connaissent après leur mort cette période d'épreuve qui les libère totalement du mal.
Alyavignette|Affiche célébrant Yom HaAliyah (Journée de l'Aliya) pour honorer les nouveaux immigrants juifs s'installant en Israël, 1950 Alya, Alyah ou Aliyah est un mot hébreu (he ou he, pluriel alyoth) signifiant littéralement « ascension » ou « élévation spirituelle ». Ce terme désigne l'acte d'immigration en Terre d'Israël, puis en Israël par un Juif. Les immigrants juifs sont appelés olim. Au contraire, le fait pour un Juif d'émigrer en dehors d'Israël est appelé yéridah (he, « descente ») et les émigrants juifs sont appelés yordim.
Prière dans le judaïsmeLa prière (תפילה tefilla, yiddish occidental : אורען oren, yiddish oriental : דאַווענען davenen, judéo-espagnol : oración) est considérée dans le judaïsme comme une prescription biblique et forme une importante part de sa pratique. Elle se substitue au culte du temple après la destruction de celui-ci, et est donc modelée sur celui-ci. Un jour ordinaire comprend par conséquent trois offices de prière auxquels s’ajoutent un office supplémentaire (moussaf) lors des chabbat, néoménies et jours de fête, et un office dit de clôture (ne’ila) propre au jour des propitiations.
Guide des égarésthumb|320px|Manuscrit en judeo-arabe du Guide des perplexes, Yémen, . thumb|175px|Le Guide des égarés. Manuscrit du . Le Moré Névoukhim (מורה נבוכים; dalālat al-ḥā’irīn littéralement, « Guide des perplexes »), souvent traduit en Guide des égarés, est l’œuvre majeure de Moïse Maïmonide (1135-1204), considéré comme le philosophe juif le plus marquant du Moyen Âge. Il a été rédigé autour de 1190 en judéo-arabe utilisant l’alphabet hébreu. Le Guide des égarés a influencé toute la pensée philosophique juive ultérieure, qui s’y est constamment référée.
Simplicité divineLa simplicité divine est une doctrine théologique disant que Dieu est sans parts. Dans la philosophie juive ainsi que dans la Kabbale, l'argument de la simplicité divine est abordé sous l'angle des attributs (תוארים) divins, en particulier chez les philosophes juifs ayant vécu dans la sphère d'influence musulmane comme Saadia Gaon, Bahya ibn Paquda, Yehouda Halevi, et Moïse Maïmonide, ainsi que son contracdicteur, le Raabad III en Provence.
GersonideRabbi Levi ben Gershom ou Gersonide, né en 1288 à Bagnols-sur-Cèze (France) et mort le , connu sous l'acronyme de son nom Ralbag, il est l'un des plus importants commentateurs bibliques de son temps, il était également mathématicien, astronome, philosophe et médecin. D'après Colette Sirat, . Gersonide naquit en 1288 en Provence, et il vécut peut-être un certain temps à Bagnols-sur-Cèze. Selon les uns, son père était probablement un certain Gershom ben Salomon de Béziers, un notable juif connu par d'autres textes médiévaux.
Péché dans le judaïsmeLa notion de péché dans le judaïsme : La Torah (l'Ancien Testament) ne connaît que deux mots pour désigner quelque chose qui ressemble au péché, qui n'ont rien à voir avec les concepts développés par le christianisme. la faute est désignée par 'het (plur. 'hattaïm). Ce mot apparaît pour la première fois dans le Livre de la Genèse IV:7. Il est linguistiquement dérivé du concept de manquer la cible. Rien ne laisse supposer dans la sémantique de celle-ci une quelconque séparation d'avec YHWH Elohim.
Tsedakavignette|Boîte à tsedaka (pushke) en argent, Charleston, 1820, National Museum of American Jewish History, Philadelphie. vignette|Boîte à dons du Merkas Yeshivot Bnei Akiva B'Israel, années 1960-70, Tel Aviv, dans la collection du Musée juif de Suisse. La tsedaka, tzedaka, tsedaqa ou tzedaqa (en hébreu : צדקה) désigne dans le judaïsme le principe religieux de l’aumône. Le radical du mot est celui qui désigne la « justice » en hébreu ( צדק ; prononcé « tsedek »).