El Shaddaivignette|La position particulière des mains lors de la Birkat Hacohanim, forme la lettre hebraïque shin (ש), première lettre de Shaddai. vignette|Pendentif en argent datant de la fin du 19e siècle avec l'inscription “YHWH” et "Schaddai". Dans la collection du Musée juif de Suisse. El Shaddai, écrit aussi El Shadday (אל שדי, ), est l'un des noms de Dieu dans le judaïsme. Il est traditionnellement traduit en « Dieu Tout-Puissant ». Le nom Shaddaï (écrit aussi Chaddaï) apparaît aussi bien en combinaison avec « El » qu'indépendamment de lui.
Éqronvignette|rue phillistine reconstruite dans le kibboutz revadim Éqron (עקרון) est une des cinq cités philistines mentionnées dans le Tanakh. Elle est identifiée au site archéologique de Tel Miqneh en Israël, à proximité du kibboutz Revadim. Dans le Deuxième Livre des Rois, le dieu adoré à Éqron est Baal-Zeboub ou Baal-Zeboul (Belzébuth). C'est habituellement un dieu médecin associé aux épidémies, quoique le roi Ahazia le consulte pour une blessure. Tel Miqneh est situé dans la bordure orientale de la plaine côtière, à à l'ouest de Jérusalem et à au nord de Gath.
ArsayArsay (Ugaritic: ‘arṣy) was a goddess worshiped in the city of Ugarit in the late Bronze Age. Her standing in the Ugaritic pantheon and her role in Ugaritic religion remain uncertain. It has been proposed that she was associated with the underworld or with groundwater, though neither theory found universal support. She was most likely regarded as a daughter of the weather god Baal, though neither of the goddesses most often associated with him, Anat and Ashtart, was ever described as her mother.
AtargatisAtargatis (known as Derceto by the Greeks) was the chief goddess of northern Syria in Classical antiquity. Primarily she was a fertility goddess, but, as the baalat ("mistress") of her city and people she was also responsible for their protection and well-being. Her chief sanctuary was at Hierapolis, modern Manbij, northeast of Aleppo, Syria. Michael Rostovtzeff called her "the great mistress of the North Syrian lands". Her consort is usually Hadad.
False godThe phrase false god is a derogatory term used in Abrahamic religions (namely Judaism, Samaritanism, Christianity, the Baháʼí Faith, and Islam) to indicate s or deities of non-Abrahamic Pagan religions, as well as other competing entities or objects to which particular importance is attributed. Conversely, followers of animistic and polytheistic religions may regard the gods of various monotheistic religions as "false gods", because they do not believe that any real deity possesses the properties ascribed by monotheists to their sole deity.
AstrolâtrieL’astrolâtrie (ou astrolatrie, littéralement « adoration des astres ») est le culte des astres (étoiles et autres corps célestes) qui sont considérés comme des divinités anthropomorphiques et comme les archétypes de comportements humains. L’astrolâtrie était généralement associée à la pratique de l'astrologie et liée à l'expérience subjective des phénomènes de la nature, notamment de la course du soleil qui rythmait les saisons. Elle était présente dans les philosophies et les religions polythéistes de l'Antiquité, notamment à travers le culte solaire et lunaire des religions astrales.
EmarEmar (en arabe : ʾīmār, ar) actuel Tell Meskene (en arabe : tall maskana, ar) était une cité mésopotamienne située sur la rive de l'Euphrate dans le nord-ouest de l'actuelle Syrie. Sa position géographique à la jonction de la Mésopotamie, de la Méditerranée et de l'Anatolie en a fait une place stratégique. En 1996, une équipe germano-syrienne met au jour des vestiges plus anciens datant du bronze ancien et du bronze moyen. Dans les années 1960, le gouvernement syrien décide la construction d'un barrage et d'un lac artificiel sur le fleuve de l'Euphrate à la hauteur de Tabqa.
JahJah ou Yah (en Hébreu: יָהּ, Yāh) est la forme courte de Yahvé, יהוה (YHWH), les quatre lettres formant le Tétragramme, le nom personnel de Dieu utilisé par les anciens Israélites et les Juifs modernes. Jah fait donc référence au même dieu que celui des Juifs, Chrétiens et Musulmans. Cette forme courte se retrouve 50 fois dans la Bible hébraïque, dont 24 fois dans l'expression composée « Alléluia », qui vient de l'hébreu halelou-Yah, « Louez Yah ! ».