La langue chinoise utilise des sinogrammes pour son écriture. Un mot compte rarement plus de un ou deux caractères, mais il existe beaucoup plus de caractères (ou glyphes ou sinogrammes) que de touches sur un clavier d'ordinateur tel que celui généralement utilisé dans le monde. Les premiers ordinateurs chinois utilisaient pourtant des claviers de plusieurs milliers de touches.
De nombreuses méthodes d'entrée (ou IME, Input Method Editor, en anglais) ont été conçues pour permettre au mieux l'encodage des caractères chinois par des claviers standards.
Les méthodes d'encodage des caractères chinois au clavier peuvent être classées en trois grandes familles : par encodage, par prononciation et par structure des caractères. Ci-dessous quelques exemples des méthodes développées. Pinyin complet et Pinyin double sont des variations de la méthode d'encodage pinyin. De plus, les méthodes qui demandent à l'utilisateur de choisir parmi un nombre de possibilités proposées disposent généralement de techniques avancées qui permettent d'afficher dans le menu le caractère le plus probable (contexte, fréquence, expressions).
Suivant les préférences personnelles et le type d'utilisateur, ces méthodes conviennent mieux à l'une ou l'autre personne, chaque méthode ayant par ailleurs ses qualités et ses faiblesses. Par exemple, pour une personne habituée au pinyin, la méthode pinyin peut être rapidement maîtrisée. Cependant, la vitesse d'encodage par ces méthodes est limitée, et n'est à portée que des personnes maitrisant le pinyin. La méthode Wubi demande plus d'effort pour être apprise, mais elle permet une fois pleinement maîtrisée un encodage plus rapide qu'avec les méthodes phonétiques. Pour ces raisons, il ne semble pas qu'une méthode standard d'encodage du chinois puisse être envisagée à terme.
Il existe d'autres moyens moins courants pour réaliser l'encodage de caractères chinois, dont certains utilisant un stylet et une tablette, et qui numérisent les caractères écrits par l'intermédiaire d'un logiciel de reconnaissance de l'écriture ou éventuellement des logiciels de reconnaissance du langage.
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vignette|Saisie logiciellement assistée de caractères chinois. Une méthode de saisie, également méthode d'entrée (de l'input method), est un programme ou un composant d'un système d'exploitation qui permet aux utilisateurs d'un ordinateur de saisir des caractères complexes et des symboles, tels que les caractères chinois, l'alphabet coréen, le système d'écriture japonais ou ceux de langues d'origine indienne (sanskrit, tamoul, tibétain, etc.), à l'aide d'un clavier occidental classique.
The writing system of the Korean language is a syllabic alphabet of character parts (jamo) organized into character blocks (geulja) representing syllables. The character parts cannot be written from left to right on the computer, as in many Western languages. Every possible syllable in Korean would have to be rendered as syllable blocks by a font, or each character part would have to be encoded separately. Unicode has both options; the character parts ᄒ (h) and ᅡ (a), and the combined syllable 하 (ha), are encoded.
vignette|Symbole de traduction. Le 'hanyu pinyin' () est un système de romanisation du chinois mandarin, promu officiellement en 1958 en République populaire de Chine, puis en 2008 à Taïwan. L'étude et la diffusion du mandarin, traditionnellement écrit à l'aide de sinogrammes, ont nécessité des systèmes de transcription au fur et à mesure que les contacts de la langue avec d'autres cultures et d'autres systèmes d'écriture se sont développés. Le pinyin est la méthode de transcription du mandarin en alphabet latin la plus répandue de nos jours dans les ouvrages modernes.
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We study the satisfiability problem of symbolic tree automata and decompose it into the satisfiability problem of the existential first-order theory of the input characters and the existential monadic second-order theory of the indices of the accepted word ...
2023
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