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vignette|Localiser l'étoile polaire de l'hémisphère nord, Alpha Ursae Minoris, depuis la Grande Ourse. Une étoile polaire est, de façon générale en astronomie, une étoile visible à l’œil nu se trouvant approximativement dans l'alignement de l’axe de rotation d’une planète, en particulier la Terre. Actuellement, l’étoile polaire dans l’hémisphère nord de la Terre est Alpha Ursae Minoris (α UMi), l’étoile la plus brillante de la constellation de la Petite Ourse, appelée aussi pour cette raison l'Étoile polaire (avec une majuscule) en français ou Polaris en latin. Dans l'hémisphère sud, il est admis que Beta Hydri, de la constellation de l'Hydre mâle, représente un bien meilleur candidat, en raison de sa magnitude apparente plus facilement perceptible, que Sigma Octantis (σ Oct, Polaris Australis), pourtant plus proche de l'axe de rotation de la Terre mais plus difficile à repérer. Du fait de son alignement avec l’axe de rotation, une étoile polaire est perçue comme immobile par un observateur situé sur la planète, tandis que les autres étoiles visibles semblent décrire un mouvement circulaire autour de l’étoile polaire pendant la nuit. Une étoile polaire est située près d’un des pôles célestes ; en navigation astronomique, sa position est un indicateur fiable de la direction d’un pôle géographique, et son altitude angulaire permet de déterminer la latitude. Potentiellement, une planète possède deux étoiles polaires, une pour le pôle nord et l’autre pour le pôle sud, mais leur existence dépend de la configuration des étoiles : il peut ne pas y avoir d’étoile suffisamment visible à l’œil nu dans la direction d’un pôle. La direction de l’axe de rotation d’un objet céleste se modifie continuellement au cours du temps, sous l'événement principal du phénomène de précession des équinoxes. Par conséquent, l’étoile polaire correspondante est amenée à changer. À plus long terme, les étoiles elles-mêmes se déplacent les unes par rapport aux autres, et ce mouvement propre est une autre cause de modification de l’étoile polaire sur de nombreux cycles de précession.
Jian Wang, Matthias Finger, Qian Wang, Yiming Li, Matthias Wolf, Varun Sharma, Yi Zhang, Konstantin Androsov, Jan Steggemann, Leonardo Cristella, Xin Chen, Davide Di Croce, Rakesh Chawla, Matteo Galli, Anna Mascellani, João Miguel das Neves Duarte, Tagir Aushev, Lei Zhang, Tian Cheng, Yixing Chen, Werner Lustermann, Andromachi Tsirou, Alexis Kalogeropoulos, Andrea Rizzi, Ioannis Papadopoulos, Paolo Ronchese, Hua Zhang, Siyuan Wang, Tao Huang, David Vannerom, Michele Bianco, Sebastiana Gianì, Sun Hee Kim, Kun Shi, Wei Shi, Abhisek Datta, Jian Zhao, Federica Legger, Gabriele Grosso, Ji Hyun Kim, Donghyun Kim, Zheng Wang, Sanjeev Kumar, Wei Li, Yong Yang, Geng Chen, Ajay Kumar, Ashish Sharma, Georgios Anagnostou, Joao Varela, Csaba Hajdu, Muhammad Ahmad, Ekaterina Kuznetsova, Ioannis Evangelou, Muhammad Shoaib, Milos Dordevic, Meng Xiao, Sourav Sen, Xiao Wang, Kai Yi, Jing Li, Rajat Gupta, Zhen Liu, Muhammad Waqas, Hui Wang, Seungkyu Ha, Long Wang, Pratyush Das, Miao Hu, Anton Petrov, Xin Sun, Xin Gao, Chen Chen, Valérie Scheurer, Giovanni Mocellin, Muhammad Ansar Iqbal, Lukas Layer