Lincitation au génocide est un crime selon les lois internationales, qui interdisent d'encourager l'exécution d'un génocide. est interdite par la Convention pour la prévention et la répression du crime de génocide de 1948. L'encouragement à perpétrer un génocide est une variante extrême de discours de haine.
L'incitation au génocide procède souvent par allusions voilées, métaphores et euphémismes ; au lieu de s'exprimer par des appels aux actes, l'incitation recourt à des procédés rhétoriques de déshumanisation et d'. Historiquement, l'incitation a joué un rôle clé dans plusieurs génocides, comme celui des Arméniens, celui des Juifs et celui des Tutsi.
Bien que l'incitation seule soit passible de poursuites judiciaires, les juridictions pénales internationales (tribunaux pénaux pour le Rwanda et l'ex-Yougoslavie, Cour pénale internationale) n'ont pas encore jugé ce crime indépendamment de la mise en pratique de massacres de masse.
est interdite par la Convention pour la prévention et la répression du crime de génocide, article 3(c). Si le génocide est perpétré, l'incitation peut faire l'objet de poursuites en tant que , prévue à l'article 3(e) - et ce, même si l'incitation n'est pas directe ou publique.
L'incitation signifie encourager un tiers à commettre un crime, en l'espèce le génocide. En général, les interprétations de la Convention de 1948 veulent que les poursuites pour incitation au génocide n'aient lieu que si l'intention de provoquer un génocide est établie.
Le terme signifie que le discours doit être voulu et compris comme un appel à agir contre le groupe désigné, ce qui soulève des difficultés pour les juristes en raison des différences culturelles et individuelles. Pour , le terme « directe » n'exclut pas d'emblée le recours aux euphémismes . D'après l'Américain , spécialiste du génocide, la majorité des incitations ne contient pas un ordre impératif de tuer le groupe désigné ; par conséquent, il recommande que les décisions judiciaires établissent un « dictionnaire » des procédés rhétoriques qui président aux incitations.
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During a speech at the Reichstag on 30 January 1939, Adolf Hitler threatened "the annihilation of the Jewish race in Europe" in the event of war: If international finance Jewry inside and outside Europe should succeed in plunging the nations once more into a world war, the result will be not the Bolshevization of the earth and thereby the victory of Jewry, but the annihilation of the Jewish race in Europe. These words were similar to comments that Hitler had previously made to foreign politicians in private meetings after the Kristallnacht pogrom in November 1938.
Genocide justification is the claim that a genocide is morally excusable or necessary, in contrast to genocide denial, which rejects that genocide occurred. Perpetrators often claim that the genocide victims presented a serious threat, meaning that their killing was legitimate self-defense of a nation or state. According to modern international criminal law, there can be no excuse for genocide. Genocide is often camouflaged as military activity against combatants, and the distinction between denial and justification is often blurred.
La Convention pour la prévention et la répression du crime de génocide (CPRCG) est un traité de droit international approuvé à l'unanimité le par l'Assemblée générale des Nations unies. Elle est entrée en vigueur le . Au décembre 2019, l'ont ratifiée ou y ont adhéré. Son inspirateur et principal rédacteur est Raphael Lemkin, un juriste américain d'origine juive polonaise, qui a créé le néologisme « génocide » dans les dernières années de la Seconde Guerre mondiale.
Le besoin de rénovation, le nombre de bâtiments concernés dans le canton de Vaud, le coût des travaux, la rentabilité, la finançabilité et des moyens pour le canton de soutenir les propriétaires