Théologie chrétienneLa théologie chrétienne veut « rendre raison de la foi chrétienne ». Elle est une tentative d'intelligence rationnelle de la foi au moyen des catégories de diverses philosophies (grecques au départ, modernes ensuite). Selon la formule de saint Anselme de Cantorbéry, on la définit comme Fides quaerens intellectum. La théologie désigne le discours croyant sur Dieu, la Bible, la religion et l'Église, et notamment sur les doctrines chrétiennes, élaborée selon les moyens et la perspective énoncés ci-dessus.
Chrétienvignette|redresse=1.4|Pourcentage de chrétiens par pays (chiffres du Pew Research Center). Un chrétien est une personne qui adhère à la religion issue de Jésus de Nazareth, le christianisme, et suit son enseignement rapporté par les Évangiles. Il peut se former auprès d'une autorité religieuse (une Église) et/ou en étudiant l'Évangile seul ou avec d'autres personnes. Le mot « chrétien » provient du mot « Christ » qui est la traduction du grec Khristos, lui-même traduisant le mot hébreu Massiah désignant le « Messie », c'est-à-dire l'« Oint du Seigneur », celui qui est consacré par une onction divine d'huile sainte.
Rite latinLes rites latins sont les rites liturgiques, manières de célébrer les mystères de la religion catholique, suivis par l'Église catholique latine (ou d'Occident). De ces rites latins, le plus répandu est le rite romain. Les rites non latins de l'Église catholique sont dits « orientaux » et sont suivis par les 23 Églises catholiques orientales. Par métonymie on parle quelquefois du « rite latin » en voulant dire l'Église latine, qui utilise les rites liturgiques latins, et qui rassemble plus d'un milliard de fidèles pour un total de 1,2 milliard de catholiques.
Empire byzantinL’'Empire byzantin' ou Empire romain d'Orient désigne l'État apparu vers le dans la partie orientale de l'Empire romain, au moment où celui-ci se divise progressivement en deux. Il se caractérise par sa longévité : il puise ses origines dans la fondation même de Rome, et la datation de ses débuts change selon les critères choisis par chaque historien. La fondation de Constantinople, sa capitale, par en 330, autant que la division d’un Empire romain de plus en plus difficile à gouverner et qui devient définitive en 395, sont parfois citées.