Coercition | EPFL Graph Search

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Coercion (koʊˈɜrʒən,_-ʃən) involves compelling a party to act in an involuntary manner by the use of threats, including threats to use force against that party. It involves a set of forceful actions which violate the free will of an individual in order to induce a desired response. These actions may include extortion, blackmail, or even torture and sexual assault. For example, a bully may demand lunch money from a student where refusal results in the student getting beaten. Common-law systems codify the act of violating a law while under coercion as a duress crime. Coercion used as leverage may force victims to act in a way contrary to their own interests. Coercion can involve not only the infliction of bodily harm, but also psychological abuse (the latter intended to enhance the perceived credibility of the threat). The threat of further harm may also lead to the acquiescence of the person being coerced. The concepts of coercion and persuasion are similar, but various factors distinguish the two. These include the intent, the willingness to cause harm, the result of the interaction, and the options available to the coerced party. John Rawls, Thomas Nagel, Ronald Dworkin, and other political authors argue that the state is coercive. In 1919 Max Weber (1864-1920), building on the view of Ihering (1818-1892), defined a state as "a human community that (successfully) claims a monopoly on the legitimate use of physical force". Morris argues that the state can operate through incentives rather than coercion. Healthcare systems may use informal coercion to make a patient adhere to a doctor's treatment plan. Under certain circumstances, medical staff may use physical coercion to treat a patient involuntarily. The purpose of coercion is to substitute one's aims to those of the victim. For this reason, many social philosophers have considered coercion as the polar opposite to freedom. Various forms of coercion are distinguished: first on the basis of the kind of injury threatened, second according to its aims and scope, and finally according to its effects, from which its legal, social, and ethical implications mostly depend.

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Concepts associés (5)

Châtiment

Un châtiment est un traitement violent qui est infligé en réponse à un acte ou une attitude considérée comme répréhensible, immorale ou déplacée. Il consiste à imposer quelque chose de désagréable à une personne, dans le but de lui faire craindre le châtiment infligé pour la dissuader de conserver ce type d'attitude. Il est infligé par l'autorité supérieure à l'égard de ceux qu'elle gouverne. Par exemple, un État avec ses citoyens, une armée avec ses prisonniers, un employeur avec ses employés, un enseignant avec ses élèves, un parent avec ses enfants ou un maître avec son animal de compagnie.

Persuasion

La persuasion est l'action d'amener quelqu'un à croire ou à faire quelque chose, , c'est-à-dire, sans recours à la force ni à ses substituts, menace, chantage, dilemme. Quand la persuasion concerne les idées, c'est une forme volontaire de l'influence. Les anciens, d'Isocrate à Aristote et Cicéron, ont défini la rhétorique comme l'art de convaincre et de persuader. Des auteurs classiques à partir de l'humaniste Ramus au ont distingué persuader de convaincre, la persuasion ajoutant à la conviction par la dialectique, l'idée d'un sentiment actif excité dans l'âme de l'auditeur.

Manipulation mentale

vignette|upright=1.0|Vue d'artiste de la coercition et du lavage de cerveau. Une manipulation mentale ou manipulation psychologique est une méthode délibérément mise en œuvre dans le but de contrôler ou influencer la pensée, les choix, les actions d'une personne, via un rapport de pouvoir ou d'influence (suggestions, contraintes). Les méthodes utilisées faussent ou orientent la perception de la réalité de l'interlocuteur en usant notamment d'un rapport de séduction, de suggestion, de persuasion, de soumission non volontaire ou consentie.