Un châtiment est un traitement violent qui est infligé en réponse à un acte ou une attitude considérée comme répréhensible, immorale ou déplacée. Il consiste à imposer quelque chose de désagréable à une personne, dans le but de lui faire craindre le châtiment infligé pour la dissuader de conserver ce type d'attitude.
Il est infligé par l'autorité supérieure à l'égard de ceux qu'elle gouverne. Par exemple, un État avec ses citoyens, une armée avec ses prisonniers, un employeur avec ses employés, un enseignant avec ses élèves, un parent avec ses enfants ou un maître avec son animal de compagnie.
Le châtiment (ou juridiquement la sanction) est motivé soit par le désir d'enseigner par la contrainte soit par la volonté de punir. La première motivation est illustrée par l'adage de la langue latine «Qui bene amat, bene castigat», puis repris par la langue française « Qui aime bien, châtie bien ». La seconde explique les décisions de condamner un coupable à la peine de mort.
En 1970, C. S. Lewis publie une La Théorie Humanitaire du Châtiment dans son ouvrage Dieu au banc des accusés (God in the Dock), 1970 (paru en France en 1982). Selon la théorie, punir un homme parce qu’il le mérite, et autant qu’il le mérite, est simplement de la vengeance, et par conséquent barbare et immoral. Les seuls motifs légitimes pour punir sont le désir de dissuader par l’exemple ou de corriger le criminel. C.S Lewis explique pourquoi cette théorie en apparence miséricordieuse dissimule en fait la possibilité d’une cruauté et d’une injustice sans fin .
Il en existe deux grandes familles : corporel et moral. Le premier consiste à marquer le corps du châtié ; le second à placer le châtié dans une situation psychologiquement pénible.
Le premier peut être une simple marque sans conséquence à long terme telle qu'une gifle, mais peut aller jusqu'à l'exécution d'une peine de mort, parfois accompagné d'un supplice en public.
De même, le second peut être une privation légère ou une humiliation grave, par exemple l'obligation pour un prisonnier d'effectuer des actes interdits par sa religion.
Cette page est générée automatiquement et peut contenir des informations qui ne sont pas correctes, complètes, à jour ou pertinentes par rapport à votre recherche. Il en va de même pour toutes les autres pages de ce site. Veillez à vérifier les informations auprès des sources officielles de l'EPFL.
Explore l'analyse critique du pouvoir, des connaissances et de la discipline de Michel Foucault dans la société, en mettant l'accent sur la surveillance, la punition et la naissance du système pénitentiaire.
Explore les obligations légales et les considérations éthiques dans le traitement des données et l'IA, couvrant le crédit à la consommation, la protection des données et la prise de décision automatisée.
Reinforcement learning (RL) is crucial for learning to adapt to new environments. In RL, the prediction error is an important component that compares the expected and actual rewards. Dopamine plays a critical role in encoding these prediction errors. In my ...
EPFL2024
Serotonin's function in the brain is unclear. One challenge in testing the numerous hypotheses about serotonin's function has been observing the activity of identified serotonergic neurons in animals engaged in behavioral tasks. We recorded the activity of ...
One fundamental issue with existing reputation systems, particularly those implemented in open and decentralized environments, is whitewashing attacks by opportunistic participants. If identities are cheap, it is beneficial for a rational provider to simpl ...
Wiley-Blackwell2014
vignette|La Loi par Jean-Jacques Feuchère. Marbre, 1852. Place du Palais-Bourbon, VIIe arrondissement de Paris. Le droit est défini comme , ou de façon plus complète . Ces règles, appelées règles de droit sont impersonnelles, abstraites, obligatoires et indiquent ce qui « doit être fait ». Ces règles juridiques peuvent trouver leur source dans une source normative « supérieure », extérieure, transcendante, comme le droit naturel, ou découler de normes intrinsèques, issues de la morale et de la raison.
thumb|upright=1.3|La prison de la Santé, dans le de Paris. Une prison, centre de détention ou pénitencier est un lieu où sont enfermés certaines personnes condamnées appelées prisonniers ou détenus. Par extension, le terme « prison » désigne également la peine d'incarcération, comme dans l'expression . En France, il existe plusieurs catégories d'établissements pénitentiaires, à savoir : les maisons d'arrêt, les centres de détention, les maisons centrales, les centres de semi-liberté et les centres pénitentiaires (qui, pour ces derniers, ont la particularité de réunir au moins deux types d'établissement, comme, par exemple, une maison d'arrêt et un centre de détention).
La coercition est l'action de contraindre quelqu'un, pour le forcer à agir ou à s'en abstenir. Elle existe notamment par contrainte physique ou psychologique. En droit pénal, on parle d'un délit de contrainte. L’autorité légale, dont l’État est le sommet dans les sociétés modernes, est en principe la seule à pouvoir l'utiliser, pour assurer une parmi ses membres.