La discrimination positive aux États-Unis (en anglais : affirmative action) est mise en place lors de la lutte pour les droits civiques et l'abolition de la ségrégation raciale.
En mars 1961, le président John Fitzgerald Kennedy lance un programme daffirmative action créant l'ordre exécutif , qui oblige les programmes financés par le gouvernement fédéral de « prendre une action affirmative » (take affirmative action) afin de s'assurer que l'emploi ne soit pas soumis aux discriminations raciales ou sexuelles.
Le Civil Rights Act de 1964 interdit toute discrimination, en fondant la base d'une législation interdisant aux employeurs et aux établissements scolaires toute discrimination en matière d’embauche ou d’admission sur la base de caractéristiques particulières, tels la race, l’origine nationale, la religion ou le sexe. La discrimination positive, qui va au-delà de l'interdiction de la discrimination, vise à favoriser les minorités jugées en position de faiblesse. Le taux de chômage des Noirs est alors deux fois supérieur à celui des Blancs.
Elle apparaît véritablement sous la présidence de Lyndon B. Johnson dans le cadre de troubles raciaux (hot summers). Le président Johnson publie le décret présidentiel (executive order 11 246) du 24 septembre 1965, qui lance le mot d'ordre d'« égalité des chances dans l'emploi » (equal opportunity employment). Ce décret oblige les entreprises attributaires des marchés publics à démontrer leur absence de discrimination par une « action affirmative » (affirmative action), mais le terme n'est pas défini.
Le gouvernement crée alors la Commission pour l'égalité des perspectives d'emploi (Equal Employment Opportunity Commission, EEOC), qui propose en novembre 1965 que les grandes entreprises établissent un rapport sur la composition raciale de leurs effectifs.
Le gouvernement de Nixon lance en septembre 1969 le « plan de Philadelphie », qui introduit l'obligation pour les entreprises attribuées des marchés publics de soumettre un plan de discrimination positive visant à recruter un nombre donné d'effectifs appartenant à une « minorité ».
Cette page est générée automatiquement et peut contenir des informations qui ne sont pas correctes, complètes, à jour ou pertinentes par rapport à votre recherche. Il en va de même pour toutes les autres pages de ce site. Veillez à vérifier les informations auprès des sources officielles de l'EPFL.
La discrimination positive aux États-Unis (en anglais : affirmative action) est mise en place lors de la lutte pour les droits civiques et l'abolition de la ségrégation raciale. En mars 1961, le président John Fitzgerald Kennedy lance un programme daffirmative action créant l'ordre exécutif , qui oblige les programmes financés par le gouvernement fédéral de « prendre une action affirmative » (take affirmative action) afin de s'assurer que l'emploi ne soit pas soumis aux discriminations raciales ou sexuelles.
Les Américains sont un peuple d'Amériques, regroupant les citoyens des États-Unis. La majorité des Américains sont blancs, du fait que le pays trouve ses origines dans la colonisation britannique et plus largement européenne du et du , qui donna naissance à la nation américaine. Après l'acquisition de l'indépendance en 1783, le pays connu plusieurs vagues d'immigration en provenance de l'Europe au cours du et au début du .
Reverse discrimination is a term used to describe discrimination against members of a dominant or majority group, in favor of members of a minority or historically disadvantaged group. Groups may be defined in terms of ethnicity, gender identity, nationality, race, religion, sex, or sexual orientation. Affirmative action is a set of practices that attempts to promote diversity in areas such as employment, education, and leadership, typically by reserving some positions for people of traditionally disadvantaged groups.
Explore les tests statistiques pour l'indépendance et l'homogénéité, y compris les tests chi-carré et le test exact de Fisher, avec des exemples pratiques et des applications.