Island syndrome describes the differences in morphology, ecology, physiology and behaviour of insular species compared to their continental counterparts. These differences evolve due to the different ecological pressures affecting insular species, including a paucity of large predators and herbivores as well as a consistently mild climate.
Reduced predation. Island ecosystems cannot support a sufficient biomass of prey in order to accommodate large predators. This largely relieves prey species of the risk of predation, which mostly removes the selection pressure for morphologies, ecologies and behaviours that help to evade large predators.
Reduced biodiversity. Insular ecosystems tend to comprise large populations of a limited number of species (a state termed density compensation), therefore, they exhibit low biodiversity. This results in reduced interspecific competition and increased intraspecific competition.
Reduced sexual selection. There is also reduced sexual selection in insular species, which is especially prominent in birds which lose their sexually dimorphic plumage used in sexual displays.
Reduced parasite diversity. Finally, there is reduced parasite diversity in insular ecosystems which reduces the level of selection acting on immune-related genes.
Foster's ruleIsland dwarfism and Island gigantism
Interspecific competition between continental species drives divergence of body size so that species may avoid high levels of competition by occupying distinct niches. Reduced interspecific competition between insular species reduces this selection pressure for species to occupy distinct niches. As a result, there is less diversity in the body size of insular species. Typically small mammals increase in size (for example fossa are a larger insular relative of the mongoose) while typically large mammals decrease in size (for example the Malagasy hippopotamuses are smaller insular relatives of continental hippopotamuses). These are examples of insular gigantism and insular dwarfism respectively.
Cette page est générée automatiquement et peut contenir des informations qui ne sont pas correctes, complètes, à jour ou pertinentes par rapport à votre recherche. Il en va de même pour toutes les autres pages de ce site. Veillez à vérifier les informations auprès des sources officielles de l'EPFL.
Balaur est un genre éteint de petits dinosaures à plumes dont la position phylogénétique au sein du clade des paraviens est encore discutée. Il a vécu au Crétacé supérieur il y a environ 70 millions d'années) et a été découvert en Roumanie. Il n'est connu que par une seule espèce, décrite et nommée Balaur bondoc par Csiki et ses collègues en août 2010. Le nom de genre Balaur vient du nom d'une créature proche du dragon dans le folklore roumain.
thumb|Squelette d'éléphant nain de Crète. L’évolution insulaire caractérise la modification des fréquences alléliques de populations isolées sur des îles représentant un domaine géographique sur lequel les échanges extérieurs sont limités, au cours des générations. Les îles se forment de deux manières. Premièrement, elles peuvent surgir de la mer, ce sont des îles océaniques qui se forment au-dessus d’un point chaud. Elles sont donc vides de toute forme de vie au départ, et sont colonisées progressivement par les espèces du continent voisin ou des îles voisines.
thumb|250px|Canariomys bravoi ou rat géant de Tenerife Le gigantisme insulaire est un phénomène biologique par lequel la taille des espèces sur une île augmente de façon spectaculaire sur plusieurs générations. C'est une forme de sélection naturelle dans laquelle une taille plus importante assure un avantage de survie (voir la règle de Bergmann). La grande taille des herbivores les empêche généralement d'échapper ou de se cacher des prédateurs, mais sur les îles, ces derniers sont souvent absents.