Résumé
In population genetics, F-statistics (also known as fixation indices) describe the statistically expected level of heterozygosity in a population; more specifically the expected degree of (usually) a reduction in heterozygosity when compared to Hardy–Weinberg expectation. F-statistics can also be thought of as a measure of the correlation between genes drawn at different levels of a (hierarchically) subdivided population. This correlation is influenced by several evolutionary processes, such as genetic drift, founder effect, bottleneck, genetic hitchhiking, meiotic drive, mutation, gene flow, inbreeding, natural selection, or the Wahlund effect, but it was originally designed to measure the amount of allelic fixation owing to genetic drift. The concept of F-statistics was developed during the 1920s by the American geneticist Sewall Wright, who was interested in inbreeding in cattle. However, because complete dominance causes the phenotypes of homozygote dominants and heterozygotes to be the same, it was not until the advent of molecular genetics from the 1960s onwards that heterozygosity in populations could be measured. F can be used to define effective population size. The measures FIS, FST, and FIT are related to the amounts of heterozygosity at various levels of population structure. Together, they are called F-statistics, and are derived from F, the inbreeding coefficient. In a simple two-allele system with inbreeding, the genotypic frequencies are: The value for is found by solving the equation for using heterozygotes in the above inbred population. This becomes one minus the observed frequency of heterozygotes in a population divided by the expected frequency of heterozygotes at Hardy–Weinberg equilibrium: where the expected frequency at Hardy–Weinberg equilibrium is given by where and are the allele frequencies of and , respectively. It is also the probability that at any locus, two alleles from a random individual of the population are identical by descent. For example, consider the data from E.B.
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thumb|Schématisation de l'effet fondateurÀ gauche, une population globale, diffusant à droite vers trois possibilités de populations fondatrices thumb|Schématisation de l'effet fondateur, avec (Points rouges, en bas du graphique) un effet « goulet d'étranglement ». Si le noyau fondateur a une faible diversité génétique, les populations qui en découleront voient leur risque de dérive génétique ou de maladaptation augmenter.
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