Charity (practice)The practice of charity is the voluntary giving of help to those in need, as a humanitarian act, unmotivated by self-interest. There are a number of philosophies about charity, often associated with religion. The word charity originated in late Old English to mean a "Christian love of one's fellows", and up until at least the beginning of the 20th century, this meaning remained synonymous with charity.
Tsedakavignette|Boîte à tsedaka (pushke) en argent, Charleston, 1820, National Museum of American Jewish History, Philadelphie. vignette|Boîte à dons du Merkas Yeshivot Bnei Akiva B'Israel, années 1960-70, Tel Aviv, dans la collection du Musée juif de Suisse. La tsedaka, tzedaka, tsedaqa ou tzedaqa (en hébreu : צדקה) désigne dans le judaïsme le principe religieux de l’aumône. Le radical du mot est celui qui désigne la « justice » en hébreu ( צדק ; prononcé « tsedek »).
Buddhist ethicsBuddhist ethics are traditionally based on what Buddhists view as the enlightened perspective of the Buddha. The term for ethics or morality used in Buddhism is Śīla or sīla (Pāli). Śīla in Buddhism is one of three sections of the Noble Eightfold Path, and is a code of conduct that embraces a commitment to harmony and self-restraint with the principal motivation being nonviolence, or freedom from causing harm. It has been variously described as virtue, moral discipline and precept.
Dānavignette|L'aumône aux moines à Luang Prabang, une pratique du Dana courante en Asie du Sud-Est. Dāna (Pali, Sanskrit: दान ; , jinpa) est un mot désignant une vertu et signifiant générosité, don, ou charité. Il est utilisé dans l'hindouisme, le bouddhisme et le jaïnisme. La première voyelle du mot dāna s'écrit avec un A macron (ā), deuxième lettre du syllabaire et alphabet devanagari. Il se réfère aussi à la pratique de cultiver la générosité, une des vertus les plus importantes du bouddhisme.
AṅgulimālaAṅgulimāla (Pāli language; lit. 'finger necklace') is an important figure in Buddhism, particularly within the Theravāda tradition. Depicted as a ruthless brigand who completely transforms after a conversion to Buddhism, he is seen as the example par excellence of the redemptive power of the Buddha's teaching and the Buddha's skill as a teacher. Aṅgulimāla is seen by Buddhists as the "patron saint" of childbirth and is associated with fertility in South and Southeast Asia.
Moinethumb|250px|Moines bouddhistes en Thaïlande.|alt= Un moine, ou une moniale (du latin monachus, « homme solitaire » et du grec monakhos, de monos, seul), est un homme ou une femme lié par des vœux de religion et menant, en solitaire ou en communauté, une vie essentiellement spirituelle, dévotionnelle et contemplative. Les moines sont présents dans les traditions religieuses catholique, orthodoxe, jaïne, bouddhiste, shintoïste, taoïste et hindoue.
TempéranceLa tempérance est définie comme modération ou retenue de soi-même volontaire, le contrôle et la maitrise de soi avec frustration volontaire, donc résister à des excès. Elle est typiquement décrite en fonction de ce qu'un individu se retient de faire. Ceci inclut la retenue de représailles comme désir de paix et de pardon, retenue d'arrogance comme forme d'humilité et de modestie ainsi que la retenue d'excès comme forme de prudence, de calme et de contrôle de soi.
Autel (religion)thumb|260px|Autel de la cathédrale de Lund en Suède. Dans le domaine religieux, un autel est une table sacrée servant au sacrifice rituel ou au dépôt d’offrandes. Étymologiquement, on retrouve dans le mot « autel » deux notions : la hauteur (du latin altar qui donne l’italien altare, à la fois « élévation » et « profondeur », comme dans l’expression « haute mer ») et la nourriture (du latin alere, « alimenter, sustenter »). Suivant les religions et les pratiques, un autel se situe soit uniquement dans un lieu de culte soit chez une personne.
Jeûnevignette|alt=Le couvert est mis, au milieu d'un assiette se trouve un verre d'eau.|Illustration du jeûne dans la culture occidentale. Le jeûne est la privation, volontaire ou non, de nourriture, accompagnée ou pas d'une privation de boisson. Le jeûne partiel fait partie intégrante de la pratique de certaines religions (carême, ramadan, kippour). D'un point de vue médical et physiologique, on considère que la période de jeûne commence à partir de la sixième heure après le dernier repas.