La seconde intifada ou Intifada el-Aqsa (الإنتفاضة الفلسطينية الثانية ou إنتفاضة الأقصى ; אינתיפאדת אל-אקצה) désigne la période de violence israélo-palestinienne à partir de jusqu'à environ . Les événements sont décrits par Israël comme une campagne de terrorisme palestinien, tandis qu'ils sont décrits par les Palestiniens comme une révolte contre l'occupation et la colonisation.
Le début de la seconde intifada est marqué par la visite d'Ariel Sharon, le chef de l'opposition israélienne sur l'esplanade des Mosquées et le mont du temple, le et la mort de Mohammed al-Dura 2 jours plus tard. Elle se marque par des émeutes palestiniennes dans les territoires occupés auxquelles se joint la population palestinienne de nationalité israélienne. Elle est immédiatement réprimée par l'armée israélienne. Après 15 jours, on compte plus de 100 morts palestiniens et vingt-quatre israéliens (dix Juifs, ainsi que quatorze Arabes israéliens tués par la police israélienne). Le , la violence grimpe d'un cran quand le Hamas et le Jihad islamique lancent une campagne d'attentats-suicides contre les centres urbains israéliens, avec plus d'une quarantaine d'attentats perpétrés jusqu'à la fin de l'année 2001.
Israël lance l'opération Rempart en , marquée par la bataille de Jénine et la construction d'un mur de séparation israélienne. Suivront également plusieurs opérations militaires dont l'opération Arc-en-ciel (), l'opération Pluies d'été (), l'opération Plomb durci (nouvel an 2009) suivie par la Guerre de Gaza,
Certains auteurs considèrent que le soulèvement prend fin en 2003 avec l'amorce de la Feuille de route pour la paix du Quartet pour le Moyen-Orient, l'accord sur une trêve avec Israël entre les différentes factions palestiniennes, et le début des pourparlers de paix entre Ariel Sharon et Mahmoud Abbas. D'autres auteurs considèrent qu'elle prend fin avec le cessez-le-feu observé par le Hamas, conséquence de mesures politiques et diplomatiques pour certains, ou de la force de dissuasion des assassinats ciblés pour d'autres.
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L’Autorité nationale palestinienne (en arabe ar, As-Solta al-Wataniya al-Filastiniya) est le nom de l'entité gouvernementale qui administre les habitants arabes de Cisjordanie et de la bande de Gaza dans les et B de Palestine définies par les accords d'. Elle a un président et une assemblée élue au suffrage universel, une police (mais pas d'armée) et des représentants dans plusieurs pays. Depuis janvier 2013, l'Autorité nationale palestinienne représente l'État de Palestine. L'Autorité palestinienne est divisée en deux paliers.
L’AH-64 Apache est un hélicoptère d'attaque tout temps. En 2018, il est construit par Boeing, qui absorba en 1997 la société McDonnell Douglas, qui avait elle-même racheté la société Hughes Aircraft en 1984. Cette dernière l'avait développé pendant la guerre froide afin de stopper les colonnes de chars de combat du pacte de Varsovie en cas de conflit en Europe. Tous les appareils sont produits dans l'usine Boeing de Mesa dans l'Arizona. Son baptême du feu eut lieu au Panama en décembre 1989.
L'Armée de défense d'Israël (en hébreu Tsva ha-Haganah le-Israël, he ; ; en anglais, Israel Defense Forces ou IDF), couramment désignée par l'acronyme Tsahal (he), est l'armée de l'État d'Israël. Le gouvernement israélien a officialisé ce nom le ; il a été choisi, parce qu'il exprime l'idée que le rôle de l'armée israélienne est la défense, et aussi en référence au fait qu'il a incorporé la Haganah — qui veut dire « Défense » — qui fut la principale organisation militaire juive ayant existé avant la création de l'État d'Israël et sur laquelle la nouvelle armée a été basée.